Salut tous le monde,
Bon, c'est mon premier post, mon premier AAR... C'est donc tout nouveau pour moi. J'ai acheté EU II il ya 3 mois (vive les soldes! seulement 4€)et après plusieurs parties, je me lance dans ma première AAR.
Notre vainqueur est donc le Cambodge, pays que je n'avais jamais joué avant et c'est d'ailleurs la première fois que je joue un non-latin... je sens qu'on va bien se marrer. Pourquoi j'ai choisi le Cambodge? Bonne question! 1) il est relativement loin de l'ogre chinois, mais assez proche pour pouvoir le bouffer lorsqu'il se tappera toutes ses révoltes. 2) L'indonésie n'est pas loin... on peut donc espérer quelques colonies. 3) Je vais enfin voir ce que deviens l'europe sans mon intervention! (j'espère avoir les cartes avant 1600) 4) mon meilleur pote est Prince du Cambodge, et je me suis dit que ce serait marrant de jouer avec son pays! :rofl:
Voici donc son histoire:
1er Episode: le Roi Narayana Ramadhipati (1404-1429)
C'est au début de l'année 1419 que le grand conseiller de notre bon roi Narayana Ramadhipati mouru, après avoir passé plus de 45 ans à servir la famille Royale. Notre monarque fut très affecté de la mort de celui qui avait été son précepteur durant sa jeunesse, et qui était naturellement devenu son conseiller lorsqu'il prit le pouvoir en 1404. Mais Ramadhipati ne fut pas le seul troublé par cette mort, je le fus moi aussi. Moi, enfant des campagnes que le vieil homme était venu cherché au fond de son village, qui m'amena à notre capitale, Angkor Vat, et qui me prodigua tout son savoir. Il fit de moi un homme de la cour, il fit de moi le fils qu'il n'avait jamais eu. Et moi je venais de perdre un père.
Néanmoins, qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque mon Roi me convoqua quelques semaines plus tard. Peut être voulait-il me donner un poste de fonctionnaire au palais? ou peut être pire, me renvoyer dans mon village, maintenant que mon protecteur était décédé... Je m'imaginais déjà les pires scénarios quand à mon avenir, et ce fut donc bouche bée que j'entendis Ramadhipati me demander d'être son nouveau conseiller, ou du moins telle fut l'expression que j'eusse montrer si le protocole ne m'avait pas enseigné à restreindre se genre d'attitude. Je venais donc de devenir, à l'age de 20 ans (ce qui est un age mur pour notre époque) premier conseiller de Son Altesse Royale Narayana Ramadhipati.
C'est d'un Royaume en crise dont mon souverain me demandait de m'occuper. Le Royaume Khmer fut peut être très puissant il y a encore quelques siècles, lorsque son emprise s'étendait sur toute la péninsule indochinoise, et parlait d'égal à égal avec l'Empire du Milieu. Mais aujourd'hui, il n'était plus que l'ombre de lui-même: le pays était pauvre, les rentrées d'argent étaient très faibles. Des grandes étendues où régnèrent les ancètres de mon roi, il ne restait plus que trois province: le Cambodge, le Khmer et le delta du Mekong. L'Ayuthya (actuelle Thailande), qui était une ancienne de nos provinces et qui avait pris son indépendance, menaçait aujourd'hui notre capitale, Angkor Vat, qui, même s'il s'agissait d'une des plus belles villes du monde à cette époque, partait aujourd'hui en ruine, faute de moyens pour la rénover. Mes avisés conseils n'allait donc pas être superflus pour aider Son Altesse Sérénissime à gouverner le pays. Ainsi commença donc mon histoire...
Notre position n'était pas très sure par rapport aux autre royaumes: malgré une armée sensiblement plus forte (composé d'approximativement 10 000 hommes et 3 000 cavaliers d'après notre général), nous étions entouré de potentiels ennemis, et notre seul allié dans la région était le royaume du Lan Xang, qui occupait notre frontière Nord. Mon premier conseil fut de remarquer que le trésor royal n'avait point besoin de plus d'or, et que nous devrions mieux consacrer nos revenus aux techniques militaires, au commerce et aux développement de nos villes (entendez par là terrestre, commerce et infrastructure), tout en lui déconseillant d'investir dans une flotte royale: même si notre pays possédait de grands pécheurs, ce sont des terres intérieures que venait le danger. Mon second ordre fut de commencer à former un diplomate parlant le chinois, car je pensait qu'il était préférable pour notre royaume de renouer des relations avec l'Empire du Fleuve Jaune. La formation fut assez longue, presque un an... pendant ce temps, la vie s'écoulait paisiblement à la cour. J'en profitais pour aménager mes nouveaux quartiers, pour assister aux cérémonies et autres fêtes donnés par le Roi. Celui-ci possédait d'ailleurs une fille, qui serait bientôt femme, qui ébluissait déjà toute la cour de sa beauté: on murmurait même qu'il n'y avait point de pareille beauté dans tout le royaume. Elle aurait pu régner sur notre glorieux royaume, si son frère le Prince Sedaya n'était pas né. Cet état fes faits me donner une idée et je tachas de convaincre son altesse: pourquoi ne pas marier la princesse sa fille avec l'Empereur de Chine? Ceci apporterait des relations stables entre nos deux royaumes, et peut être que si elle devenait la favorite de l'Empereur Céleste, nous pourrions nous targuer de voir couler dans les veines du plus puissant des monarques notre sang! Le roi fut convaincu par mon discours et décida donc que sa fille partirait avec son escorte accompagner notre diplomate. Le jour venu, en cet humide mois d'Avril 1420, où la princesse partit donc, le baume au coeur, pleurant les paysages de son enfance. Mais elle connaissait aussi le devoir de la Royauté, et elle accepta donc son sort. On dit néanmoins que lorsqu'elle dsiparut à l'horizon sur son éléphant d'apparat, toutes les fleurs du Royaume se flétrirent... Ce n'est que plusieurs mois plus tard que nous sachâmes que la Princesse était devenu la favorite de l'Empereur, qui avait dit en la voyant qu'une déesse venait d'apparaitre devant lui...
Les jours s'écoulait paisiblement. Nous n'avions nul ennemis, nul révolte. Je parcourus notre Royaume, pour pouvoir rendre compte devant mon roi de l'état de ses sujets et de ses terres. Quatre années passèrent ainsi... comme le courant qui emporte la feuille sur le fleuve... Un matin pourtant, je fus m'y au courant par le chef de la garde que de nouvelles techniques de combat venait d'être apprises (comprenez, on passe enfin au niveau un en militaire), et c'est donc devant sa Majesté et sa cour que fut faite la passe d'armes de la garde royale. Notre Roi fut très content de cette présentation et me convoqua l'après midi même. Je ne savait pas encore que celui-ci, tout émoustillé par ce qu'il venait de voir, avait décidé de redonner à notre Royaume son glorieux passé, même si ce fut au prix du sang et des vies des soldats de notre armée. Il voulait surtout se venger du souverain voisin de l'Ayuthya, qui, il y quelques années, avait lancé un raid sur Angkor et avait partiellement détruit notre merveilleuse cité. Bien que je fus d'accord avec lui sur le principe, je lui conseilla de s'attaquer plutôt à notre voisin de l'est le Champa, qui était de religion hindou et non point bouddhiste comme nous, pour éviter de mécontenter la population. Puisque les deux pays formaient une alliance dans laquelle nous étions pris en étaux, nous devrions nous battre sur 2 fronts à la fois. Après avoir donc envoyé un emmissaire chez le roi du Lan Xang pour s'assurer de leur soutien, et aussi de convenir d'un plan d'attaque, nous mobilisâmes notre armée...
La guerre fut déclarée le 21 janvier 1424, l'effet de surprise fut total. Tandis que les troupes de notre alliée fondaient sur la capitale du Champa, nous envoyâmes un petit détachement s'occuper de la province du Da Lat, en attendant que celui-ci reçoive des renforts. Mais c'est sur Bangkok, la capitale d'Ayuthya que fondit le plus gros de nos troupes. Peut préparer, l'armée adverse tomba rapidement, et nous primes sans coups férir la capitale après un court siège. Je pourrais continuer à raconter ces récits de guerre, mais je préfère plutôt parler des résultats des victoires de notre puissante armée. en moins de 2 ans, tout le royaume d'Ayuthya est conquis, et c'est le front bas, l'honneur baffoué, que son souverain accepta les conditions de paix: la province de Perak, frontalière du Califat de Malacca, nous fut donnée, et Ayuthya devint notre vassal. Mon roi, sa Majesté Narayana Ramadhipati exhultait de joie.
Néanmoins, la guerre sur le fornt est était encore loin d'être finie. Qu'elle ne fut d'aillieurs pas notre surprise quand notre allié Lan Xang vint nous annoncé, que, voyant la puissance de nos armées, il voulait aussi attaqué la Chine, alors en proie à une grave guerre civile. Notre souverain ne put s'abaisser à accepter cette offre, car le sort de sa fille, aujourd'hui Impératrice de Chine, lui importait beaucoup: qui sait ce que lui aurait fait son mari si le père de sa femme venait lui déclarer la guerre! Nous rompimes donc notre alliance avec le Lan Xang, ce qui d'ailleurs me réjouit, car nous pûmes ainsi formé une nouvelle alliance avec notre récent vassal. Quelques mois plus tard, c'est donc seule armée entra dans la capitale du Champa. La paix retrouvée nous apporta la province de Da Lat, et un prestige que nul souverain Khmer n'avait eu depuis plus d'un siècle. Notre souverain vieillissant allait donc pouvoir gravé son nom à coté de ceuc de ses ancètres sans aucune honte.
Il mourrut d'ailleurs paisiblement 2 années plus tard, en Janvier 1429. En dix ans, gràce à mes conseils, il avait redonné un nouveau souffle de vie au Royaume Khmer, et c'est à son fils (mais surtout à moi, son ami) qu'il laissa la tache de rendre aux Khmers leur grandeur passée. Ce fut donc à moi que revenait, comme le voulait la tradition, la lourde tache d'accompagner dans ses premiers pas de monarque, notre souverain, Son Altesse Sérénissime, le Roi Sedaya...
La suite au prochain épisode...
Cambodge en 1429, à la mort de Ramadhipati.
Bon voilà, mon premier souverain est mort. Comme vous le voyez, je n'attend pas forcément des casus belli (et oui, l'occasion fait le larron ), mais j'ai des excuses, jsuis un nouveau, et je joue pas forcément avec un pays facile (putain si jamais la Chine me tombe dessus!). Bon, j'espère que le style d'écriture vous a plus, que c'était pas trop lourd et tout et tout... j'espère pouvoir écrire bientôt la suite... par contre, est ce que quelqu'un sait si la Cambodge à des event sympa? (et surtout s'il y en a!) je sais ouvrir les fichiers events... mais bon, j'arrète pas de me paumer dans ceux-ci! lol :rofl:
Bon ben voilà... Dites moi ce que vous en pensez... bye bye!
Bon, c'est mon premier post, mon premier AAR... C'est donc tout nouveau pour moi. J'ai acheté EU II il ya 3 mois (vive les soldes! seulement 4€)et après plusieurs parties, je me lance dans ma première AAR.
Notre vainqueur est donc le Cambodge, pays que je n'avais jamais joué avant et c'est d'ailleurs la première fois que je joue un non-latin... je sens qu'on va bien se marrer. Pourquoi j'ai choisi le Cambodge? Bonne question! 1) il est relativement loin de l'ogre chinois, mais assez proche pour pouvoir le bouffer lorsqu'il se tappera toutes ses révoltes. 2) L'indonésie n'est pas loin... on peut donc espérer quelques colonies. 3) Je vais enfin voir ce que deviens l'europe sans mon intervention! (j'espère avoir les cartes avant 1600) 4) mon meilleur pote est Prince du Cambodge, et je me suis dit que ce serait marrant de jouer avec son pays! :rofl:
Voici donc son histoire:
1er Episode: le Roi Narayana Ramadhipati (1404-1429)
C'est au début de l'année 1419 que le grand conseiller de notre bon roi Narayana Ramadhipati mouru, après avoir passé plus de 45 ans à servir la famille Royale. Notre monarque fut très affecté de la mort de celui qui avait été son précepteur durant sa jeunesse, et qui était naturellement devenu son conseiller lorsqu'il prit le pouvoir en 1404. Mais Ramadhipati ne fut pas le seul troublé par cette mort, je le fus moi aussi. Moi, enfant des campagnes que le vieil homme était venu cherché au fond de son village, qui m'amena à notre capitale, Angkor Vat, et qui me prodigua tout son savoir. Il fit de moi un homme de la cour, il fit de moi le fils qu'il n'avait jamais eu. Et moi je venais de perdre un père.
Néanmoins, qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque mon Roi me convoqua quelques semaines plus tard. Peut être voulait-il me donner un poste de fonctionnaire au palais? ou peut être pire, me renvoyer dans mon village, maintenant que mon protecteur était décédé... Je m'imaginais déjà les pires scénarios quand à mon avenir, et ce fut donc bouche bée que j'entendis Ramadhipati me demander d'être son nouveau conseiller, ou du moins telle fut l'expression que j'eusse montrer si le protocole ne m'avait pas enseigné à restreindre se genre d'attitude. Je venais donc de devenir, à l'age de 20 ans (ce qui est un age mur pour notre époque) premier conseiller de Son Altesse Royale Narayana Ramadhipati.
C'est d'un Royaume en crise dont mon souverain me demandait de m'occuper. Le Royaume Khmer fut peut être très puissant il y a encore quelques siècles, lorsque son emprise s'étendait sur toute la péninsule indochinoise, et parlait d'égal à égal avec l'Empire du Milieu. Mais aujourd'hui, il n'était plus que l'ombre de lui-même: le pays était pauvre, les rentrées d'argent étaient très faibles. Des grandes étendues où régnèrent les ancètres de mon roi, il ne restait plus que trois province: le Cambodge, le Khmer et le delta du Mekong. L'Ayuthya (actuelle Thailande), qui était une ancienne de nos provinces et qui avait pris son indépendance, menaçait aujourd'hui notre capitale, Angkor Vat, qui, même s'il s'agissait d'une des plus belles villes du monde à cette époque, partait aujourd'hui en ruine, faute de moyens pour la rénover. Mes avisés conseils n'allait donc pas être superflus pour aider Son Altesse Sérénissime à gouverner le pays. Ainsi commença donc mon histoire...
Notre position n'était pas très sure par rapport aux autre royaumes: malgré une armée sensiblement plus forte (composé d'approximativement 10 000 hommes et 3 000 cavaliers d'après notre général), nous étions entouré de potentiels ennemis, et notre seul allié dans la région était le royaume du Lan Xang, qui occupait notre frontière Nord. Mon premier conseil fut de remarquer que le trésor royal n'avait point besoin de plus d'or, et que nous devrions mieux consacrer nos revenus aux techniques militaires, au commerce et aux développement de nos villes (entendez par là terrestre, commerce et infrastructure), tout en lui déconseillant d'investir dans une flotte royale: même si notre pays possédait de grands pécheurs, ce sont des terres intérieures que venait le danger. Mon second ordre fut de commencer à former un diplomate parlant le chinois, car je pensait qu'il était préférable pour notre royaume de renouer des relations avec l'Empire du Fleuve Jaune. La formation fut assez longue, presque un an... pendant ce temps, la vie s'écoulait paisiblement à la cour. J'en profitais pour aménager mes nouveaux quartiers, pour assister aux cérémonies et autres fêtes donnés par le Roi. Celui-ci possédait d'ailleurs une fille, qui serait bientôt femme, qui ébluissait déjà toute la cour de sa beauté: on murmurait même qu'il n'y avait point de pareille beauté dans tout le royaume. Elle aurait pu régner sur notre glorieux royaume, si son frère le Prince Sedaya n'était pas né. Cet état fes faits me donner une idée et je tachas de convaincre son altesse: pourquoi ne pas marier la princesse sa fille avec l'Empereur de Chine? Ceci apporterait des relations stables entre nos deux royaumes, et peut être que si elle devenait la favorite de l'Empereur Céleste, nous pourrions nous targuer de voir couler dans les veines du plus puissant des monarques notre sang! Le roi fut convaincu par mon discours et décida donc que sa fille partirait avec son escorte accompagner notre diplomate. Le jour venu, en cet humide mois d'Avril 1420, où la princesse partit donc, le baume au coeur, pleurant les paysages de son enfance. Mais elle connaissait aussi le devoir de la Royauté, et elle accepta donc son sort. On dit néanmoins que lorsqu'elle dsiparut à l'horizon sur son éléphant d'apparat, toutes les fleurs du Royaume se flétrirent... Ce n'est que plusieurs mois plus tard que nous sachâmes que la Princesse était devenu la favorite de l'Empereur, qui avait dit en la voyant qu'une déesse venait d'apparaitre devant lui...
Les jours s'écoulait paisiblement. Nous n'avions nul ennemis, nul révolte. Je parcourus notre Royaume, pour pouvoir rendre compte devant mon roi de l'état de ses sujets et de ses terres. Quatre années passèrent ainsi... comme le courant qui emporte la feuille sur le fleuve... Un matin pourtant, je fus m'y au courant par le chef de la garde que de nouvelles techniques de combat venait d'être apprises (comprenez, on passe enfin au niveau un en militaire), et c'est donc devant sa Majesté et sa cour que fut faite la passe d'armes de la garde royale. Notre Roi fut très content de cette présentation et me convoqua l'après midi même. Je ne savait pas encore que celui-ci, tout émoustillé par ce qu'il venait de voir, avait décidé de redonner à notre Royaume son glorieux passé, même si ce fut au prix du sang et des vies des soldats de notre armée. Il voulait surtout se venger du souverain voisin de l'Ayuthya, qui, il y quelques années, avait lancé un raid sur Angkor et avait partiellement détruit notre merveilleuse cité. Bien que je fus d'accord avec lui sur le principe, je lui conseilla de s'attaquer plutôt à notre voisin de l'est le Champa, qui était de religion hindou et non point bouddhiste comme nous, pour éviter de mécontenter la population. Puisque les deux pays formaient une alliance dans laquelle nous étions pris en étaux, nous devrions nous battre sur 2 fronts à la fois. Après avoir donc envoyé un emmissaire chez le roi du Lan Xang pour s'assurer de leur soutien, et aussi de convenir d'un plan d'attaque, nous mobilisâmes notre armée...
La guerre fut déclarée le 21 janvier 1424, l'effet de surprise fut total. Tandis que les troupes de notre alliée fondaient sur la capitale du Champa, nous envoyâmes un petit détachement s'occuper de la province du Da Lat, en attendant que celui-ci reçoive des renforts. Mais c'est sur Bangkok, la capitale d'Ayuthya que fondit le plus gros de nos troupes. Peut préparer, l'armée adverse tomba rapidement, et nous primes sans coups férir la capitale après un court siège. Je pourrais continuer à raconter ces récits de guerre, mais je préfère plutôt parler des résultats des victoires de notre puissante armée. en moins de 2 ans, tout le royaume d'Ayuthya est conquis, et c'est le front bas, l'honneur baffoué, que son souverain accepta les conditions de paix: la province de Perak, frontalière du Califat de Malacca, nous fut donnée, et Ayuthya devint notre vassal. Mon roi, sa Majesté Narayana Ramadhipati exhultait de joie.
Néanmoins, la guerre sur le fornt est était encore loin d'être finie. Qu'elle ne fut d'aillieurs pas notre surprise quand notre allié Lan Xang vint nous annoncé, que, voyant la puissance de nos armées, il voulait aussi attaqué la Chine, alors en proie à une grave guerre civile. Notre souverain ne put s'abaisser à accepter cette offre, car le sort de sa fille, aujourd'hui Impératrice de Chine, lui importait beaucoup: qui sait ce que lui aurait fait son mari si le père de sa femme venait lui déclarer la guerre! Nous rompimes donc notre alliance avec le Lan Xang, ce qui d'ailleurs me réjouit, car nous pûmes ainsi formé une nouvelle alliance avec notre récent vassal. Quelques mois plus tard, c'est donc seule armée entra dans la capitale du Champa. La paix retrouvée nous apporta la province de Da Lat, et un prestige que nul souverain Khmer n'avait eu depuis plus d'un siècle. Notre souverain vieillissant allait donc pouvoir gravé son nom à coté de ceuc de ses ancètres sans aucune honte.
Il mourrut d'ailleurs paisiblement 2 années plus tard, en Janvier 1429. En dix ans, gràce à mes conseils, il avait redonné un nouveau souffle de vie au Royaume Khmer, et c'est à son fils (mais surtout à moi, son ami) qu'il laissa la tache de rendre aux Khmers leur grandeur passée. Ce fut donc à moi que revenait, comme le voulait la tradition, la lourde tache d'accompagner dans ses premiers pas de monarque, notre souverain, Son Altesse Sérénissime, le Roi Sedaya...
La suite au prochain épisode...
Cambodge en 1429, à la mort de Ramadhipati.
Bon voilà, mon premier souverain est mort. Comme vous le voyez, je n'attend pas forcément des casus belli (et oui, l'occasion fait le larron ), mais j'ai des excuses, jsuis un nouveau, et je joue pas forcément avec un pays facile (putain si jamais la Chine me tombe dessus!). Bon, j'espère que le style d'écriture vous a plus, que c'était pas trop lourd et tout et tout... j'espère pouvoir écrire bientôt la suite... par contre, est ce que quelqu'un sait si la Cambodge à des event sympa? (et surtout s'il y en a!) je sais ouvrir les fichiers events... mais bon, j'arrète pas de me paumer dans ceux-ci! lol :rofl:
Bon ben voilà... Dites moi ce que vous en pensez... bye bye!