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Chapô pour l'AAR :cool:

Je suis surppris que tu n'ais pas perdu de province dans la guerre de l'Impératrice.
Que s'est-il passé pour qu'il ne t'en réclame pas ?
 
il n'était pas le chef de l'alliance et en plus les provinces prises étaient sans frontière commune avec la Chine. Donc je pense qu'il a pu s'en tirer à bon compte
 
hildoceras said:
il n'était pas le chef de l'alliance et en plus les provinces prises étaient sans frontière commune avec la Chine. Donc je pense qu'il a pu s'en tirer à bon compte
Il a fait une paix séparée donc il aurait pu se faire bouffer un tas de province.

La continuité des frontières ne me semble pas être un concept qui éttouffe l'IA... avec des autrichiens en Ecosse, des turcs en Poméranie etc etc... peut-être que certains pays sont moins gourmands que d'autres ???
 
l'idée, c'est que les chinois possèdent toujours 2 ou 3 provinces sans fortifications sur leurs frontières donc quand j'ai vu que ma première offre était refusé, j'ai envoyé 1000 cavaliers s'occuper de 2 de ces provinces dégarnies (et surtout sans combattants).

Ce qui explique pourquoi le chinois accepte ma seconde offre de 300 or... mais je ne pouvais décemment pas noter ça dans l'AAR (c pas logique que le chinois signe la paix parce qu'il a peur de mille cavaliers paumés au milieu de leur empire), j'ai donc préféré l'éluder au profit d'un Impératrice mutilée...
 
Gamera said:
l'idée, c'est que les chinois possèdent toujours 2 ou 3 provinces sans fortifications sur leurs frontières donc quand j'ai vu que ma première offre était refusé, j'ai envoyé 1000 cavaliers s'occuper de 2 de ces provinces dégarnies (et surtout sans combattants).

Ce qui explique pourquoi le chinois accepte ma seconde offre de 300 or... mais je ne pouvais décemment pas noter ça dans l'AAR (c pas logique que le chinois signe la paix parce qu'il a peur de mille cavaliers paumés au milieu de leur empire), j'ai donc préféré l'éluder au profit d'un Impératrice mutilée...
T'as le droit de faire des raids sur les arrières ennemis... C'est bien vu.
Choisir de mutiler une pov' femme sans défense pour cacher des pillages, c'est honteux :D
 
wé, c'est un joli domaine tout ça... en fait, j'ai la chance que la plupart de mes adversaires (cad ceux à qui je déclare la guerre) soient de religions différentes. Ensuite, j'ai eu pas mal d'events "bouddha performs miracle" et "white elephants". Sans compter les 3 ou 4 évènements "renaissance du khmer" qui te donne de la stab.

Par contre c'est vrai que niveau revenu c'est pas la joie, mais c'est compensé par le fait que presque toutes mes provinces ont de bonnes matières premières (autre avantage à ne pas jouer en europe: les épices sont toujours aussi chers, mais tu en as plein chez toi).

Le plus génant, c'est mon recrutement, car j'ai pas assez de cantonnements.... j'ai que 5 provinces qui peuvent recruter plus de 2 unités en même temps... c donc pas très facile pour lever une grande armée d'urgence....
 
Midomar said:
T'as le droit de faire des raids sur les arrières ennemis... C'est bien vu.
Choisir de mutiler une pov' femme sans défense pour cacher des pillages, c'est honteux :D


Comment ça sans défense? elle peut toujour mordre... :rolleyes:
Nan, et puis mère mutilée par le chinois, c'est génial... ça donne au fils une raison de hair le jaune. ;) :rofl:

Et pis même... vu le nombre de pillards que s'est taper historiquement le chinois, s'est pas pour 1000 cavalier qu'il va paniquer ;)

bon, prochain épisode bientôt...
 
Episode V : Nay Kan (1512-1516)

Lorsque notre défunt Empereur Srei Sukhontor mourut, le Prince Ang Chan n'était alors âgé que de 16 ans. Un problème se posa cependant : comme tout bon Bouddhiste, le Prince devait être Bonze une fois dans sa vie, et il arriva justement qu’il l’était lors de la mort de son père.
Ne pouvant rompre son serment de prière qu’il avait fait pour une période d’encore 5 ans, il refusa donc la couronne. Et puisque aucune de ses 4 sœurs ne pouvait monter sur le trone, la couronne étant réservé aux héritiers males, l'Impératrice, ainsi que le Premier Conseiller Impérial Nay Kan qui avait servi dignement son mari, décidèrent alors d'instaurer une régence jusqu'à ce que le Prince soit prêt à assumer son rôle. Mais cela empêchait surtout toutes autres couronnes voisines de réclamer le trone en se mariant avec une des filles de l’Impératrice, et ainsi mettre fin à la grande Dynastie Khmer…
L’empire Khmer fut donc gouverner par Nay Kan, tandis que l’Impératrice, portant toujours le deuil, assurait la représentation diplomatique.

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Nous fûmes évidemment tous soulagés par cette décision, surtout en tant qu’étudiants de l’Académie Impériale. Premier Administrateur de l’Empire, Nay Khan développa activement la centralisation, et nous envoya donc aux confins des terres de la couronne pour y assurer la présence Impériale. Il forma un conseil de 20 sages, dont je faisais partie, pour l’aider à gouverner les multiples provinces de notre Empire.
Nous décidâmes ainsi de plusieurs réformes importantes, qui consistaient surtout à accorder des terres et des droits aux sujets de l’Empire. La nouvelle de ces réformes inquiéta naturellement les divers seigneurs et nobles du pays, malgré le fait que de nombreuses années seraient encore nécessaires avant que ceux-ci ne perdent tous leurs pouvoirs…

Hélas, Nay Kan ne vécut pas assez longtemps pour mettre en place ses réformes.
Le 8 Avril 1516, furent assassinés Nay Kan et l’Impératrice, lors d’une des nombreuses réunions du Palais. Les assassins furent très vite arrêtés, et il s’avéra qu’ils avaient été commandités par un Seigneur de Jakarta, qui n’était autre que l’un des frères du souverain de Mataram.

La nouvelle de la Mort de Nay Kan et de l’Impératrice fut suivit d’une période trouble : de partout, l’empire grondait, les anciennes provinces pensant qu’il était sans doute l’heure de l’indépendance. Déjà se pressaenit aux portes du palais des émissaires de nos voisins, qui réclamaient notre trone. Pirates et brigands apparurent, profitant de la vacance du pouvoir…

Et tandis que les funérailles de l'impératrice et de Nay Kan le Sage s’organisaient en toute hâte au palais, ce fut donc dans l’urgence que j’allai chercher le Prince Ang Cha dans son ermitage du Timor, pour le convaincre de reprendre la couronne, avant qu’une guerre civile ne mette fin à l’Empire…

La suite au prochain épisode…




Un petit règne pas trop long, pépère.... juste marqué par un casus belli temporaire contre Mataram à la fin...ce sera le prochain roi qui en profitera.
Le prochain, ça va être du costaud: c'est un 9/9/8 qui va régner pendant 50 ans!! le rève! :rolleyes:


Sinon, voilà l'europe en 1536.... regardez, vous allez être un peu surpris... ;)

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Last edited:
Gamera said:
Le prochain, ça va être du costaud: c'est un 9/9/8 qui va régner pendant 50 ans!! le rève! :rolleyes:
C'est p-e gràce à sa formation au monastère :confused:
 
Episode VI : Ang Chan Ier (1516-1566)

C'est alors que l'Empire Khmer connaissait sa crise la plus grave depuis son avènement, voilà une cinquantaine d'année, que je me rendais au Monastère de Srakung, dans la province du Timor. Là se trouvait l'héritier légitime du Trône, le Prince Ang Chan, mais qui n’était pour l’instant que Frère Ang aux yeux des autres bonzes du Temple.

Ayant voyagé plus vite que les nouvelles de la Capitale, c’est une atmosphère de paix que je rencontrai en arrivant au Monastère. Comme chaque jour, les moines s’entraînaient à endurcir leur corps et leur âme : cela consistaient surtout en de longues séances de méditations et de prières, ainsi qu’en de dur entraînements nécessaire à la pratique du Muai Thai, art de combat khmer où excellait d’ailleurs le Prince.
Je fus naturellement bien accueilli par les bonzes, qui m’offrirent leur repas tandis qu’ils ramenèrent le Prince Ang Chan. Lorsqu’il se présenta à moi, je ne le reconnu pas de prime abords : son corps, autrefois seulement celui d’un chétif adolescent, était devenu svelte et athlétique, les muscles qu’il avait acquis durant ses longs entraînements saillaient sous sa robe de bonze. Son regard, autrefois celui d’un adolescent encore innocent, affichait une sérénité qui imposait le respect. C’est son être entier qui avait été transformé… comme s’il était devenu un autre homme.

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Lorsqu’il me questionna sur les raisons d’une si soudaine venue, je fus presque séduit par cette voie si paisible, mais je gardai néanmoins à l’esprit l’urgence de ma venue.
Je lui racontai donc tout ce qui c’était passé lors des derniers à la Capitale. Il m’écouta avec attention, calme et serein. Il avait repris son rôle de Prince et analysait la situation sans émotion. Son regard cependant, changea un bref instant, au moment je lui annonçai la nouvelle de la mort de sa mère l’Impératrice : il devint noir, plein de rage... mais en même temps tellement glacé et tranchant, telle la lame d’une épée... Je fus comme transpercé, mais l’instant d’après, son visage avait retrouvé sa sérénité.

Quand j’eu enfin terminé mon récit, il resta sans parler, sans bouger, pendant plusieurs minutes. Puis lentement il se leva, et s’en retourna en lâchant sobrement « il est l’heure pour moi de retourner chez moi ». Il se prépara donc à quitter le monastère sans pour autant oublier de participer à la prière en l’honneur de la mort de l’Impératrice et de Nay Kan. Alors que le soleil se couchait derrière la pagode, il se retourna une dernière fois vers ce qui fut sa maison durant les 8 dernières années, avant de disparaître à l’horizon.

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Une semaine plus tard était organisée en grande pompe la cérémonie de couronnement du Prince, qui monta sur le trône en tant que Ang Chan Ier. La nouvelle de son retour avait calmé les esprits, et la paix était revenue dans l’Empire. Néanmoins, il abrégea la fête qui avait été préparée en son honneur et réunit le jour même de son couronnement une réunion d’urgence au palais, réunion à laquelle je j’assistai d’ailleurs en tant que conseiller spécial.
Sa première décision en tant que monarque fut de déclarer la guerre à Mataram qui avait officieusement aidé les traîtres responsables du complot. Et c’est le lendemain même qu’il s’embarquait avec son armée en direction des territoires de la Sonde.

En quelques semaines, les soldats Impériaux triomphèrent des maigres troupes qu’opposait le Sultanat de Mataram : la victoire semblait déjà notre. Mais les dernières forces armées de Mataram se réfugièrent derrière les murailles de la capitale et se préparèrent à un long siège.
Notre Empereur Ang Chan eu put lancer un assaut meurtrier sur la ville s’il n’avait été retenue par une nouvelle d’Angkor : le Daï Viet, qui souhaitait profiter de la faiblesse relative de l’Empire, avait lancé un assaut sur nos provinces du Nord et marchait déjà vers la capitale. Notre souverain du donc rentrer de toute urgence, sans pour autant intimer l’ordre à ses généraux de tenir le siège de Mataram.

Un mois plus tard, c’est à la tête d’une armée nouvellement formée de conscrits, que notre Empereur fonda sur le félon Viet. La campagne militaire fut un véritable succès. Défaitent devant le mékong, les troupes vietnamiennes durent fuir vers leur Royaume, pourchassées par les armées Khmers. Et c’est à la tête de 40 000 hommes que Ang Chan Ier entra au Dai Viet et commença deux années de guerre d’usure. Les vietnamiens, sachant leur faiblesse numérique, misaient sur de petites attaques séparées, jamais décisives, harcelant sans cesse la soldatesque Khmer.
La conquète fut néanmoins achevée en deux ans, et c’est un Roi Vietnamien défait, qui signa la reddition de son pays. Notre Empereur n’accepta la paix qu’à la seule condition que celui-ci ne devienne notre vassal. Et c’est ainsi que accablé par la honte, les larmes au bord des yeux, que le vil Viet s’agenouilla devant le jeune Empereur Khmer.

Pendant ce temps, les nouvelles du front indonésien annonçaient la reddition depuis six mois du Sultanat. La paix ne fut signée qu’en échange de la province de la Sonde, ainsi qu’au prix de la vie de l’ancien monarque.
En deux ans, Ang Chan venait déjà de prouver ses talents de stratège, remportant coup sur coup deux guerres. La même année, Luzon devenait officiellement une province Impériale à part entière.

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L’année suivante, il nous montra aussi ses indéniables qualités de diplomates. En effet, 1521 fut marquée par la crise Burmane.
Ce royaume frontalier de notre Empire était en effet depuis quelques années menacé par les Etats Shans Confédérés, qui lorgnaient sur les terres du malheureux souverain Burman. Or, isolé diplomatiquement, le royaume semblant perdu face aux exigences Shanis, le monarque Burman décidé de se placer sous la protection de l’Empire Khmer, en l’échange d’une relative autonomie.
Mais, ne voulant pas créer d’incident avec la Chine, qui verrait d’un mauvais œil cette ingérence près de ses frontières, notre Empereur décida de refuser l’offre Burmane, mais proposa une autre alternative. Il envoya un de ses plus fidèles ministres en la Capitale Burmane où celui-ci devait proposer ses services en tant que Conseiller des armées et de la diplomatie.
De fait, Burma était devenu dépendant de notre politique extérieur, mais n’était pas officiellement assujetti à notre Empire. La crise régionale fut donc évitée de justesse, Burma devenant officieusement notre vassal.

Durant la même année, prétextant une tentative de coup d’état, nous annexâmes le royaume de Lan Na et ses 3 provinces, pour protéger la stabilité à nos frontières.. Naturellement, les réactions voisines furent nombreuses, mais nos missions diplomatiques calmèrent aussitôt les tensions en envoyant de nombreux présents aux souverains.

Le début de l’année 1522 fut marqué par de grandes récoltes, ainsi que des pêches exceptionnelles durant la crue printanière du Tonele Lap. Les réserves étaient à leur plus haut, et partout régnait l’abondance. Cet apport fut d’ailleurs providentiel, car il permis à l’Empereur de ne point lever d’impôts durant la guerre qui fut déclarée en Septembre.

Notre « allié » le Royaume de Burma venait en effet de se faire attaquer par la confédération Shanis (Etats Shan), alliée au puissant royaume du Tibet. Naturellement, nous vîmes en aide aux Burmans, et nous déclarâmes ainsi la guerre aux agresseurs.
Là encore, notre Empereur démontra sa maîtrise de l’art de la guerre en mettant en place une stratégie audacieuse. En effet, aussi puissant fut-il, le Tibet possédait un point faible en les deux uniques cols qui les reliaient aux plaines Indochinoises. Il nous suffisait donc de prendre le contrôle de ces goulots d’étranglements pour bloquer définitivement les armées Tibétaines.
C’est ce qui fut fait avant l’hiver, laissant ainsi les Tibétains bloqués de l’autre coté des montagnes durant le long hiver Himalayen.

Durant ce temps, le reste de nos armées, ainsi que celles du souverain Burman, mettaient en pièces les troupes Shanis, grâce à une supériorité numérique et tactique évidente. Il ne fallut que 6 mois pour dépecer les Etats Shans entre nous et notre allié : les Etats de Shin et de Kachin nous revinrent tandis que le royaume de Burma annexait purement et simplement le dernier Etat Shan, l’Assam.
Ainsi, qu’elle ne fut pas la surprise des Tibétains, lorsque, le printemps revenu, ils apprirent la disparition de leur allié. N’ayant plus d’intérêts à utiliser les armes, une paix blanche fut signée entre nos deux partis.
Ainsi se terminait la 3eme guerre du règne de Ang Chan.

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Les années qui s’ensuivirent furent marquées par la consolidation de notre économie avec la mise en place de nouveaux percepteurs et de juges dans nos provinces les plus éloignées. De même, une propagande active permettait une vague de colonialisme sans précédent qui vit l’expansion rapide de nos colonies existantes.
Notre souverain profita aussi de ce temps pour invité l’ancien ennemi Tibétain dans notre alliance avec le royaume de Burma et le Daï Viet, mettant en avant le caractère religieux de celle-ci. En effet, nous formions ainsi une alliance qui regroupait tous les bouddhiste du monde entier. De Lhassa, la proposition parut acceptable, et le Saint Royaume du Tibet entra donc dans notre alliance en Juillet 1526.

C’est d’ailleurs le Tibet qui nous emmena dans une nouvelle guerre en Mars 1530. Excédé par le refus du Bengale de laisser le libre accès des sites sacrés du Ganges aux moines bouddhistes, le souverain Tibétain nous demanda donc de l’aide pour permettre à ses sujets de profiter des sites Indiens.
Ang Chan, qui était lui-même un ancien moine, accepta naturellement de suivre notre allié dans la guerre.
Encore une fois, grâce à nos nombreuses armées (près de 50 000 hommes) et notre supériorité technique, la campagne du Gange fut un succès retentissant, surtout face à un adversaire ne possédant pas d’allié.

En l’espace de 8 mois, ce sont toutes les provinces de l’incroyant Bengali qui furent conquises. De même que pour les Etats Shan, le Bengale fut partagé entre nos alliés : les provinces de Koch, Tirhut, Howrah et Ganges devenaient parties intégrantes de notre Empire tandis que celle du Bihar revint à notre allié Daï Viet qui appréciait de plus en plus sa vassalité.
Dorénavant, l’Empire Khmer devenait un acteur incontournable du sub-continent Indien, et c’est tout auréolé de gloire que notre souverain revint à Angkor Vat.

Le mai de la même année 1531, le Tibet perdit son souverain, alors très âgé. Les nobles Tibétains décidèrent alors de couronner notre Empereur Roi du Tibet, dut certainement au fait qu’il était alors le plus puissant des seigneurs Bouddhistes, et donc le seul à même de protéger le Dalaï Lama.
Ang Chan accepta naturellement, et il se rendit à Lhassa, où il fut couronné durant l’été de la même année : Le Saint Royaume du Tibet venait de devenir notre vassal.

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La prospérité, durant les années qui s’ensuivirent, inondait les campagnes et les villes, et ce malgré une terrible épidémie de peste ramenée des campagnes Indiennes et qui toucha notre glorieux pays en 1533. La puissance de notre économie nous permettait dorénavant de rivaliser avec l’Empire Chinois, qui était devenu avec le temps, notre plus grand ennemi.

En 1534 et 1535 furent annexés coup sur coup le Royaume Daï Viet et celui du Burma, en l’échange du mariage de notre monarque, le Grand Ang Chan Ier, avec les princesses de ces 2 pays, pour ainsi marquer l’union des Dynasties.
Par ces annexions, l’Empire Khmer n’avait plus que comme voisin immédiat le puissant Empire des Hans. Tôt ou tard, une guerre, qui déciderait de quel empereur pourrai régner sur Terre, aurait lieu….

La paix et la stabilité furent l’occasion pour notre souverain de montrer encore une fois s’il était nécessaire ses talents d’administrateur. En l’espace de 15 ans, la population de l’Empire croit de presque de moitié, et cet essor démographique permet de lancer de grandes campagnes de colonisation dans le nord Sibérien, où dit-on, il y aurait de l’or à profusion.
Le froid qui y règne quand même près de 8 mois sur 12 met à rude épreuve les colons qui meurent par centaines, peu habitués à de telles températures. La colonisation est néanmoins un succès, et ce sont d’importants revenus du commerce qui chaque mois nous proviennent de Sibérie.

Durant l’année 1538, Mataram, dont la puissance c’était considérablement amoindrie depuis la dernière guerre, préféra devenir notre vassal plutôt qu’encourir un nouveau conflit contre l’Empire Khmer.

Trois ans plus tard, l’Empereur pousse le Dalaï Lama à décréter que toute terre tibétaine ne pouvait être administré que par l’Empire Khmer, seul à même de défendre les intérêts de la puissance divine. En échange, le Dalaï Lama devenait l’unique représentant spirituel de Bouddha dans l’Empire Khmer. Les seigneurs Tibétains obligés de remettre leurs possessions, mettant ainsi fin à la semi indépendance du Tibet. Notre seul voisin à l’est et au nord devenant ainsi la Chine avec laquelle nous partageons une frontière poreuse de près de 6000 km.

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Le 15 Août 1541, le Japon récemment devenu bouddhiste demande de former une nouvelle alliance. Celle-ci est acceptée en échange du mariage de l’Empereur Go-Nara avec la plus jeune des sœurs de l’Empereur. Les festivités, qui ont lieu à Angkor, dureront près de 100 jours, et un palais de Jade fut construit pour l’occasion. Les fastes furent néanmoins marqués par l’explosion inopinée des réserves de feux d’artifices du palais qui détruisit une des ailes du palais et tua près de 70 personnes.
Le novembre de la même année, les premiers canons d’Asie tonnèrent dans la brume matinale, devant l’Empereur et sa cour. Dorénavant, l’Empire possédait un avantage incomparable sur ses ennemis avec l’invention de l’artillerie (à cette époque, nul ne savait que les européens maîtrisaient cette arme depuis plusieurs décennies).

En 1543, la nouvelle Impératrice Japonaise convainc son mari de prêter allégeance à son frère Ang Chan. Le Japon insulaire devenait, pour la première fois de son histoire, soumis à une puissance étrangère. Dans le pays, des milliers de Samouraïs se font Seppuku…

Durant l’année 1544, Mangalore est colonisée. Le royaume voisin de Vijayanagar nous propose alors un mariage royal avec l’aînée des sœurs de notre Empereur. Bien que très triste de quitter le palais, elle part pour l’Inde où sera organisé la cérémonie du mariage selon le rite Hindou. Notre souverain décide d’offrir pour sa dote près de 500 éléphants qui l’accompagneront, ainsi que sa cour.
Il fut néanmoins rapporté plus tard que le roi du Vijayanagar se révélait médiocre et même exécrable avec son épouse, lui préférant de nombreuses maîtresses… le mariage fut pourtant conservé, en raison de l’appui que conférait une telle alliance pour notre Empire dans le sous contient Indien.

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Mais ce fut de l’autre coté des frontières que vint la menace.
Durant le mois de Mars 1545, l’Empire Chinois, allié au Sultanat de Malacca et à celui d’Aceh, décide une guerre préventive contre le peuple Khmer. Notre réaction fut immédiate : dès Décembre 1545, le Sultanat de Malacca se rendait et fut purement et simplement annexé. Le détroit de Sumatra était dorénavant sécurisé et sous notre contrôle.
En Janvier 1546, l’armée du Sud débarquait sur les côtes de Sumatra, près de Palembang. Les combats furent sanglants, les musulmans se battaient avec rage, défendant chaque lieues parcourut. Néanmoins, rien ne pouvait arrêter les soldats de Son Altesse Impériale, et deux mois plus tard, la province était entièrement conquise, donnant ainsi une tête de pont sûre aux troupes envoyées pour conquérir l’île.

Mais c’est sur le front Nord que les combats furent décisifs. L’enclave de Tarakan, qui assurait à la Chine un accès au Golfe du Bengale, se rendit presque sans résistance, empêchant ainsi la flotte chinoise d’opérer de débarquement dans notre dos. Puis, Avec une armée inégalée dans l’histoire Khmer, composée de près de 45 000 fantassins, 50 000 cavaliers et surtout une centaine de pièces d’artillerie, notre Empereur en personne traversa les frontières chinoises.
La première manœuvre de nos troupes au nord fut de bloquer l’accès à l’Asie Centrale à la Chine pour empêcher celle-ci de nous prendre à revers.
L’armée se divisa ensuite en deux : une partie des troupes, commandée par le Général Norodom, fonça sur les riches côtes Cantonaises pour bloquer le commerce chinois tandis que le reste des troupes, commandé par notre Empereur, devait faire face au gros des troupes chinoises, qui étaient regroupées sur les haut plateaux du centre.

Les batailles furent d’une ampleur inimaginable. En quelques mois, les cadavres jonchaient les campagnes chinoises, apportant avec eux quantités de maladies et d’épidémies. La famine touchait les troupes qui tombaient d’inanition sur le bord des routes, les laissant aux proies des pillards ou des paysans chinois.
Néanmoins, en l’espace d’un an, les armées chinoises furent repoussées, plus obligées de défendre leur propre territoire que de tenter des manœuvres d’invasions. 200 000 chinois avaient déjà péris, et l’Empereur des Hans avait du mal à les remplacer pas de nouvelles troupes…
Entre-temps le Sultanat d’Aceh avait été écrasé par les troupes Khmers et accepta, en Mai 1547, la paix en échange des provinces de Palembang, Jambie, Riau et d’un tribut de 132 000 pièces d’or !!

Trois ans après le début des combats, la Chine proposa enfin la paix en échange de quelques territoires de seconde importance, dont l’enclave de Tarkan et la colonie de Mindororo. Notre Empereur Ang Chan, qui souhaitait pourtant aller Beijing, resta pragmatique et accepta la paix, sachant que les révoltes commençaient à gronder dans tout l’Empire. Malgré des pertes de près de 70 000 hommes, cette guerre, qui resta dans les mémoires comme la première Guerre des Chines, était une énorme victoire. Pour la première nous venions de battre les chinois (qui avaient perdus presque 350 000 hommes) et l’Empire Khmer était devenu la première puissance d’Asie.
Ang Chan Ier fut accueilli en héros à son retour à Angkor, et le triomphe qu’on lui fit resta longtemps dans les mémoires. En l’espace de 30 ans, il avait plus que doublé la taille de son Empire, et partout son nom était mentionné avec respect.

En 1549, le dernier des Sultans de Mataram mourrait, laissant derrière lui un sultanat qui fut annexé par l’Empire Khmer. L’île de Java, dont la conquête avait commencé il y a plus de 50 ans, était de nouveau unifiée, mais cette fois-ci sous la férule Khmer.
La même année, nous intégrons dans notre alliance le Sultanat de Brunei, qui comprend qu’il vaut mieux être du coté de L’empereur Ang Chan que contre lui.

D’ailleurs, dès 1551, un émissaire du Sultan vint au palais, et nous proposa de s’allier au Sultanat pour conquérir son voisin le Sultanat de Kuteï. Sa proposition, dans l’optique de la suprématie Khmer dans la région, fut naturellement acceptée. Et ainsi, le 11 Avril 1551, en même temps que notre ambassade de Kuteï annonçait une déclaration de guerre, nos troupes, alliées à celles du Sultanat de Brunei, envahissaient le pays.
Moins d’un an plus tard, le dernier Sultan de Kuteï mourut dans son palais, et son Sultanat fut partagé en deux : Selatan nous revint, tandis que Kalimatan fut donné à Brunei.

Les années passant, Ang Chan devenait de plus en plus interventionniste dans la politique de nos voisins et n’hésitait pas à employer tous les moyens pour arriver à ses fins.
Ainsi durant le mois de Mai de l’année suivante, en 1553, le Sultan de Brunei est assassiné par son propre frère, grâce à l’aide de nos espions. En échange du pouvoir, celui-ci prête allégeance à l’Empereur en tant que vassal.

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Néanmoins, la Chine n’accepte pas cet ingérence extérieur dans sa sphère d’influence, et le 12 du même mois, nous déclare la guerre, emmenant avec elle son allié le Sultanat d’Aceh.

Et c’est ainsi que débuta la Seconde Guerre des Chines.
L’armée, dont l’effectif total venait d’être porté à 100 000 soldats et 120 000 cavaliers, est majoritairement postée aux frontières avec la Chine. Encore une fois, les premiers affrontements sont terribles : les troupes de choc, composées majoritairement de Cavaliers Tibétains, déciment littéralement les premières armées des Hans, et ce malgré de nombreuses pertes.
Il s’ensuivit une guerre de mouvement rapide, nos troupes poursuivant les troupes chinoises dans toute la Chine, tandis que le gros des troupes de sièges prennent une à une toute les villes fortifiées menant Beijing.

Durant ce temps, Aceh est assiégé, et le 17 Août 1558, le Sultan d’Aceh se rendait. La paix ne fut accepté qu’a la seule condition d’un tribut de 100 000 pièces d’or et du serment d’allégeance de son souverain à notre Empereur. La guerre sur le front Sud venait déjà de se terminer.
Sur le front nord, la guerre se poursuivait.

Passèrent ainsi quatre années, où malgré les pertes énormes que subissaient nos troupes (près de 150 000 morts) la suprématie Khmer ne fut jamais remise en question. Une après une, les gouverneurs de province se rendaient, des armées entières baissaient les armes, tandis que notre étendard flottait sur la moitié de la Chine.
Arriva Septembre 1557, où, après la prise de Shangaï, l’Empereur de Chine offrit plusieurs de ses provinces en échange de la paix. La paix fut rapidement signée, car, même si nos troupes enregistraient de nombreux succès, le poids de la guerre se faisait de plus en plus lourd pour l’Empire, et déjà, plusieurs révoltes paysannes s’étaient déclarées dans nos provinces du Ganges.

Cette paix apporta néanmoins de nombreuses provinces riches du Sud de la Chine, dont Canton, qui contrôlait le commerce des mers de Chine du Sud. Nous contrôlions dorénavant 3 centres de commerces qui nous assuraient le contrôle des échanges dans toute l’Asie du Sud-Est.

Dorénavant, l’Empereur passait plus de temps sur les frontières, à la tête de ses armées, qu’au palais. L’effectif des troupes avaient atteint un niveau jusque à inégalé : c’étaient plus de 350 000 hommes qui assuraient la loi et la paix aux frontières de l’Empire.

En 1559, sous la pression de l’importante minorité Hindou, qui protestait contre les conversions forcées de masse en Inde, la guerre est déclarée au Sultanat de Delhi, allié au Gujarat. Le 15 Mars, c’est à la tête d’une armée de 80 000 hommes que Ang Chan part « défendre » les Hindous. Face la supériorité militaire de nos troupes, les armées de Delhi et du Gujarat recule sans même combattre : en l’espace de 6 mois, le Sultanat de Delhi est totalement conquis. Le Maradjah est alors renversé par une insurrection mené par son cousin, et qui nous accorda la paix en échange de toutes les provinces auparavant contrôlées par son parent (en clair, c’était une turbo-annexion).
Huit mois plus tard, le Gujarat signe une paix désavantageuse et abandonne ses anciennes provinces du centre de l’Inde à notre Empire. De partout en Asie, du Pacifique jusqu’aux rivages de la méditerranée, l’Empire Khmer était craint et respecté.

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Ang Chan commençait à se faire vieux, mais cela n’entamait en rien sa fougue. En 1563, il se proclamait unique défenseur de l’Islam en Asie et obligeait les Sultan d’Aceh et de Brunei à abdiquer en sa faveur. L’Indonésie était dorénavant unifiée sous la férule de l’Empire Khmer, qui apportait savoir et prospérité sur les îles. Seuls restaient encore indépendants les deux sultanats insulaires de l’est, Ternate et Mindanao.

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La Chine, seule, se dressait encore sur le chemin de la domination en Asie. Mais l’Empereur ne l’entendait pas ainsi. Il convoqua au début de l’année 1563 le conseil, et mis en place un plan visant à réduire définitivement la puissance chinoise…
Le 1er Novembre 1563, tout était prêt. Les effectifs de l’armée furent portés à un niveau encore jamais atteint : 200 000 soldats, 300 000 cavaliers et 600 pièces d’artillerie attendaient pour passer la frontière.

Les troupes déferlèrent dans l’Empire du milieu et les quatre années qui suivirent furent parmi les pires de que connurent les Hans. L’armée Impériale Chinoise fut anéantie, les jonques détruites, les provinces pillées. Les morts pourrissaient sur les champs tandis que les enfants mourraient de famine.
Une à une, toutes les provinces se rendirent : Lanzhou, Shaanxi, Fujian, etc… Partout où elles passaient, les armées Khmers répandaient la destruction dans les campagnes chinoises. Jamais la mort n’avait tant marchée aux côtés de nos troupes, les accompagnant dans leur morbide campagne.

Vint enfin le 13 septembre 1565 où Beijing tomba. Le gouvernement Impérial fut renversé, la panique, générale, se propagea dans toute la capitale. Accompagné d’une centaine d’homme, l’Empereur Khmer avançait vers son homologue chinois, tapis dans la Cité Interdite…
Le soir même, la tête du souverain Han se promenait sur une pique brandit par un cavalier qui traversa les troupes Kampuchéennes en liesses. La paix, signée par le gouvernement provisoire de Corée, donnait à Ang Chan quelques provinces du Centre, dont la très riche Lanzhou et ses mines d’or inépuisables.

guerredeschines5aa.jpg

Pendant une semaine, la Capitale devint la scène d’une orgie monstrueuse, l’armée Khmer fêtant sans discontinuer la victoire sur les Hans. C’est alors que le drame se produisit…
Notre Empereur, Ang Chan Ier, qui festoyait avec ses Généraux dans la Cité Interdite, mourut soudainement d’un infarctus.
Le lendemain de sa mort, les armées Khmers quittaient Beijing, le linceul du défunt Empereur porté ne tête du cortège.

Trois mois plus tard, alors que Angkor Vat s’apprêtait a fêter le jubilée du cinquantenaire de l’accession au trône de Ang Chan, c’est un peuple meurtri qui prépare l’enterrement de son souverain. Les cérémonies furent somptueuses, et dans tout l’Empire, des pleurs s’élevaient, pour celui qui les avait gouverné pendant si longtemps. Le deuil dura 50 jours, comme autant que les années où il régna, et vit la création de milliers de stèles rappelant sa mort dans aux quatre coins de l’Empire.

La mort de Ang Chan Ier marqua la fin de la période la plus faste de l’Empire Khmer. Il était devenu sous son règne, la première puissance d’Asie, si ce n’est mondiale. La culture Khmer était à son apogée, et partout elle s’enseignait dans des universités Impériales.
Après lui, l’empire déclina lentement, rongé par les nationalités, les révoltes. Aucun de ses descendants ne réussit à donner à l’Empire un éclat aussi grand que celui qu’il connut en ce mois de Janvier 1566…

Fin de la renaissance du Royaume Khmer…

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Wow ! Enfin terminé ! On devrait pas avoir le droit de régner aussi longtemps ! :eek:o :rofl:
Ici se termine cet AAR de la renaissance du Khmer. Pourquoi me direz vous ? Parce que après Ang Chan, il n’y a plus aucun souverain de valable, des vraies daubes. Et puis ça fait mieux si après il y un beau crépuscule à l’Ottomane…. Avec plein de révoltes et tout ! hehe :D Si vous voulez, je peux faire un AAR "la chute du Khmer"

Sinon, j’espère que vous avez apprécié ce dernier chapitre. Je trouve personnellement que je l’ai moins bien écrit que les précédents, mais c’est vrai que ce n’était pas facile, en raison du nombre d’infos.

Foulque…. Pardonne moi….je…je t’ai trahi ! :( Je n’ai pas pu résister… un si beau souverain... il fallait que le sang coule et imprègne le sol de toutes les contrées d’Asie. Ché abandonner la cauche pachifiste, ché chuis désolé… Je le referais plus (en tout cas dans cet AAR).

En tout cas, cette partie m’a montré l’intérêt d’un pays comme le cambodge dans les parties… et je pense que si le pays possédait plus d’Event de renaissance, il pourrait devenir l’une des nations les plus intéressantes à jouer, en raison surtout de sa situation géographique.

Si quelqu'un pouvait me donner ses impressions usr cet AAR, qui fut mon premier (et non pas mon dernier je l'espère) :)
 
Gamera said:
Foulque…. Pardonne moi….je…je t’ai trahi ! :( Je n’ai pas pu résister… un si beau souverain... il fallait que le sang coule et imprègne le sol de toutes les contrées d’Asie. Ché abandonner la cauche pachifiste, ché chuis désolé… Je le referais plus (en tout cas dans cet AAR).
il commence a avoir l'habitude. meme lui s'est trahit a lui-meme


Gamera said:
Si quelqu'un pouvait me donner ses impressions usr cet AAR, qui fut mon premier (et non pas mon dernier je l'espère) :)
j'ai juste survoler le dernire chapitre, mais bravo d'avoir réussit a faire ca avec le Cambodge :eek:
 
Mon avis : Bravissimo ma cortissimo

L'excuse "après ils sont tous nuls et pas dignes de moi" est un peu légère ;)
T'as peur de devoir, la honte au front, nous raconter tes défaites et tes humiliations ? :D
Vu ta taille c'est peu probable.
Comme ton style est très sympa, ce serait bien de nous raconter la suite...

En tout cas bravo pour cette première partie.
 
Midomar said:
Mon avis : Bravissimo ma cortissimo

L'excuse "après ils sont tous nuls et pas dignes de moi" est un peu légère ;)
T'as peur de devoir, la honte au front, nous raconter tes défaites et tes humiliations ? :D
Vu ta taille c'est peu probable.

Ben justement, je pourrais certainment continuer à m'étendre, mais:
primo: je n'étais pas intéressé pour une WC au début de la partie (quoique il y aurait du challenge à conquérir du chrétien...avec ma tolérance -10 avec eux! :rofl: )
secondo: ça fait pas crédible de continuer des conquètes avec des rois qui valents du mamelouk de début de partie.

C'est pourquoi il serait plutôt intéressant que je continue la partie en laissant faire et en faisant qqs erreurs pour pouvoir raconter la déchéance du Khmer. :D non? comme ça tu les auras mes défaites et mes humiliations. ;)

Midomar said:
Comme ton style est très sympa, ce serait bien de nous raconter la suite...

En tout cas bravo pour cette première partie.

merchi....ché chentil... (en fait pas trop quand même, ils vont s'apercevoir de quelque chose :D )
 
Gamera said:
Ben justement, je pourrais certainment continuer à m'étendre, mais:
primo: je n'étais pas intéressé pour une WC au début de la partie (quoique il y aurait du challenge à conquérir du chrétien...avec ma tolérance -10 avec eux! :rofl: )
secondo: ça fait pas crédible de continuer des conquètes avec des rois qui valents du mamelouk de début de partie.

C'est pourquoi il serait plutôt intéressant que je continue la partie en laissant faire et en faisant qqs erreurs pour pouvoir raconter la déchéance du Khmer. :D non? comme ça tu les auras mes défaites et mes humiliations. ;)



merchi....ché chentil... (en fait pas trop quand même, ils vont s'apercevoir de quelque chose :D )

Vas-y, montre nous la déchéance du khmer.

Mais pas trop quand même car j'aime bien le Cambodge :eek:
L'avantage, c'est que ça fera baisser ton BB et on pourra ranimer Foulque. :D

Mais si tu veux continuer à gagner continue, te gène pas pour nous (on congélera Foulque jusqu'à la fin de ta partie)
:D :D
 
Imrryran said:
La WC !
La WC !
La WC !

:p

Bah, je peux bien tenter une partie alternative et faire une belle WC (c koi d'ailleurs pour vous? unique pays existant ou toutes les terres sous mon controle?).
Mais faudra vraiment prévenir Foulque alors! J'adore les parties historiques ou semi-historiques, avec des petits mineurs sans trop de conquètes... mais quand je me lache, je me lache.... ça me rappelle une partie avec le Turc (670 de BB en 1700) merde! Foulque nous fait un arrêt cardiaque! :eek: :rofl:

Au pire, je peux faire une sorte de pari... j'arrête ma WC en 1600, et je vous montre ce que j'ai réussi à conquérir entre 1566 et 1600. ça devrait déjà faire une belle carte avec que du vert... hehe

nan, plus sérieusement, j'y réfléchis...
l'idée, c'est que une fois qu'on a bouffé le chinois... vu les provinces qu'on a et qu'on a pas ses events pourris de révoltes, on devient la nation la plus puissante du monde.


Imrryran said:
et n'oubliez pas les calmants pour Foulque :D

Pauvre Foulque... on devrait au moins lui payer l'hosto... :rolleyes:
 
Excellent AAR