Le règne de Tithomir Draskovic (1237-1266)
Un messager entre au galop dans la cour enneigée du château de Zagreb. La mine déconfite, il gravit en vitesse les marches vars la salle du conseil. Il donne sa missive au chancelier qui déjà la lit, le regard lourd et sombre.
Le conseiller prend conscience des derniers présages de cet hiver de l'an de grâce 1237. Il replie le parchemin, et se tourne lentement vers l'enfant près de lui.
Mon jeune seigneur, ... vôtre père ... vôtre père le roi est mort, les armes à la main dans les terres lointaines du royaume de France.
Puis se tournant vers le reste de l'assemlée, il cria
Messieurs, le roi est mort, vive le roi !!!
L'enfant ne comprenait pas encore toute l'ampleur de la nouvelle, mais il comprit que quelque chose d'important se passait. sur le visage des courtisans (nombreux merci les gars pour la gestion
) il vit des mines intriguées comme si ces personnes le jugeaient, le jaugeaient, car apparemment, les nouvelles ne sont pas bonnes
Il fallait régler au plus vite les problèmes les plus urgents, contre la révolte des vassaux et les menaces d'éclatement, on fit la paix avec la France, on distribua les titres de ducs, on créa des évêchés pour monter la piété... Heureusement, les conseillers sont bons avec plus de 20 dans chaque compétence.
Mais pour la dette on dut recourir à un emprunt risqué mais Tithomir faisait la preuve de sa piété et il ne fut pas inquiété.
Les années passaient, le roi grandissait, les conseillers renforçaient le royaume. A sa majorité, le vrai caractère du roi s'affirma
alors il fallut envisager un bon parti pour marier le roi. On décida de se tourner vers la fille aînée du roi de Pologne une Piast.
Assuré de sa succession, le jeune roi entreprende de longs et glorieux conflits pour éradiquer la présence infidèle en Russie, Grèce, Hongrie...
Puis les conflits sont entrepris pour s'emparer des pays Baltes, de la Finlande, contre les Turcs Seldjoukides et divers comtés indépendants en Bulgarie, Grèce et en partie en Asie mineure...