Donc mon probleme en faite vient du texte accompagnat l'event ayant besoin d'une assez longue description et étant limité par les carractère je décide donc d'attribuer une desc ect dans fichier event_text voila un peu ce que ca donne
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###### La mort d’une Comtesse #
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event = {
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EVT_30004_NAME;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;La mort d’une Comtesse;;;;x
EVT_30004_DESC;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. 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Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;;;x
ACTIONNAME30004A;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;Un mal pour un bien;;;;x
Le probleme est que le jeu ne trouve pas mon texte en jeu et je séche quelqu'un peut-il m'aider?
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###### La mort d’une Comtesse #
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EVT_30004_DESC;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. 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Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. 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Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. 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Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;Dans l’après-midi, le gouvernement est réuni pour la traditionnelle photo sur les marches de l’Hôtel Matignon. Malgré l’inquiétude quant à la situation militaire, quelques bouteilles de champagne sont débouchées et Paul Reynaud reçoit les vœux de succès d’Hélène de Portes. Quand la jeune femme quitte Matignon, Reynaud lui propose sa voiture, mais le Lieutenant-Colonel Paul de Villelume, qui joue dans son cabinet un rôle important et assure la liaison avec l’Etat-Major, propose de la raccompagner personnellement. « C’est très aimable à vous, Villelume, observe Reynaud, mais n’oubliez pas que nous avons du travail. » Je conduirai moi-même, répond Villelume, je ne serai pas long. La voiture de Villelume file dans la rue de Varennes, prend à vive allure le boulevard des Invalides. Alors qu’au bout du boulevard, elle tourne à gauche vers l’esplanade, roulant toujours aussi vite, son conducteur en perd le contrôle, pour une raison inconnue. Bien après la guerre, des témoignages ont prétendu qu’une mystérieuse voiture, surgie de la rue de Grenelle, l’aurait percutée à l’arrière… Quoi qu’il en soit, l’automobile heurte brutalement un réverbère et verse sur le côté. Les secours arrivent très vite et les deux occupants, ensanglantés, sont conduits à l’Hôtel-Dieu. Là, on ne peut que constater qu’Hélène de Portes a été tuée sur le coup. Reynaud, prévenu, accourt à l’Hôtel-Dieu, accompagné de son directeur de cabinet, Dominique Leca. Devant le corps de sa maîtresse, il s’écroule en larmes : « Je ne pourrai pas continuer, Dominique. Je vais démissionner » C’est alors que surgit Paul de Villelume. Il n’est que légèrement blessé et arbore sur le crâne un volumineux pansement qui lui donne l’air passablement ridicule. « Monsieur le Président, balbutie-t-il, je suis tellement navré, je » Reynaud l’interrompt et s’exclame, avec des sanglots dans la voix : « Comment osez-vous… Vous conduisiez, c’est de votre faute… Disparaissez, je ne veux plus jamais vous voir, jamais ! » Dans la soirée, après discussion avec Dominique Leca, Reynaud décide d’attribuer les fonctions de Villelume à Roland de Margerie, qui est déjà le responsable de son cabinet diplomatique. « Les jours qui suivront verront Reynaud, affecté mais libéré Reynaud, compte tenu de sa farouche opposition à la ligne jusqu’au-boutiste. « Cet événement, raconta-t-il à son fils, m’apparut véritablement comme un signe de la Providence. Le destin de la France n’était décidément pas de se laisser aller aux sirènes du désespoir. »;;;x
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Le probleme est que le jeu ne trouve pas mon texte en jeu et je séche quelqu'un peut-il m'aider?