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Épilogue​

Un cavalier osait encore parcourir les plaines vertes du Yutacan. Un mirage miroitait dans le ciel tel un ange réincarné par les mouettes perdus sur terre. Par là encore quelques britanniques pinaillaient les filles de paysans : il n’y avait eu trop de viols, le temps avait manqué aux soldats.
Le soleil gondolait la maison au milieu des champs de céréales. On y disait une messe. Le temps passait lourdement sur les esprits enfermés et assignés à leurs richesses, l’objet de la grandeur.
Un cheval vint ouvrir les portes de la ferme. Le cavalier descendit de son piedestal. Un domestique reçut le chevalier à la lettre.
« Pour qui Senor ? dit le domestique de ce ton si stoïque.
- Madame Milillo. »
Il lui donna la lettre et repartit sur son fier destrier.
Le domestique porta la lettre à sa maîtresse dès la fin de la messe. Celle-ci l’ouvrit soigneusement, une lettre du gouvernement, peut-être son fils…
« Madame,
Je suis Benito Suarez, président de la République du Mexique. Comme le dira plus tard ce diabolique britannique (ils sont tous pernicieux) : « la Guerre c’est d’abord du sang et des larmes », j’ai vu beaucoup de sang au palais à mon retour, beaucoup de chair rouge et verte. Un fier destrier aussi couché le long des trottoirs de la capitale attendant de rencontrer les corbeaux. Les larmes…elle viennent avec le temps…
Itàjan avait la mission la plus importante, celle de garder le plus longtemps possible le palais libre. Il a tenu quinze jours. Toutes les gloires ont une fin. Itàjan est mort sur un cheval, le dernier du palais…
Que puis-je dire d’autre, je suis triste pour toute la nation, pas seulement pour lui, mais pour tous.

Monsieur le président de la République du Mexique. »
Un long sanglot s’ensuivit.


Il a beaucoup cru à son espoir, le fol narrateur. Mais Grandeur et Déclin sont lois de l’existence, qui perd gagnera, qui gagne perdra, c’est l’immuable réalité des choses. La fatalité, le destin fatal joue avec tous pour satisfaire son désir le plus immédiat, celui d’être irrésistible…

Une petite musique exotique sonne aux oreilles, elle venait de Thaïlande…




FIN
 
Bien une triste fin comme je les aime.
 
Au moins l'aar est fini et de belle manière (e terme de récit, parce qu'en terme de jeu....)

Alors prochaine cible?
 
Le Siam,dans un style totalement différent...
Le début est pas trop dur. Mais je suis jamais aller plus loin que le début parce que financièrement c'est coton. Tu achetes des réguliers, tu attaques tes voisins et t'as une dette de 50 000£ donc les intérets te bouffent tous tes profits :(