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C'est beau : on se serait parfois cru dans le "Napoléon" d'Abel Gance, pendant les discours des grands orateurs de la République. :rolleyes:
 
Lord_Klou said:
C'est beau : on se serait parfois cru dans le "Napoléon" d'Abel Gance, pendant les discours des grands orateurs de la République. :rolleyes:

Ah bon? Faudra peut etre que je le regarde, voir ce que ça donne.
Enfin merci :)
 
La République nous appelle,
Sachons vaincre ou sachons périr ;
Un Français doit vivre pour elle,
Pour elle un Français doit mourir.

Le Chant du départ, Marie-Joseph Chénier


- Deux objectifs principaux, indiqua De Gaulle, l’Assemblée Nationale et la radio : Tour Eiffel et PTT de Paris. Des ministères peuvent être occupés par l’ennemi, nous ne nous en occuperons pas pour le moment, il nous faut la communication et les députés, d’urgence.
Le commandant Cablipures reprendra l’assemblée nationale et ses abords avec les premier et le deuxième escadrons, le commandant Lefèvre se rendra à l’école supérieure des PTT avec le quatrième escadron, tandis que j’irai sur le champ de Mars avec le troisième escadron.
Cette mission est très délicate, il faut essayer de ne faire aucune victime civile. Essayez d’impressionner l’adversaire pour qu’il se rende sans heur. Si les putschistes résistent, pas de pitié, en revanche.
Le radio retranscrivait exactement ses ordres, ses hommes avaient immédiatement compris l’urgence de la situation après avoir entendu l’annonce de radio Tour Eiffel.
De Gaulle avait aussitôt donné son analyse de la situation et son plan de bataille, avant de communiquer avec ses hommes dispersés en manœuvre
Le radio s’adressa au lieutenant-colonel :
- Colonel, le commandant Cablipures préférerait que vous vous chargiez de prendre l’assemblée.
- Répondez qu’il a toutes les qualités requises et que j’ai plus important à faire.
De Gaulle mis fin à la communication rappelant que l’assemblée devait être totalement contrôlée avant quatorze heures et qu’il fallait s’emparer des postes émetteurs encore plus vite.
- Le sort du pays est entre nos mains. Messieurs il faut faire l’impossible.

**

Reynaud qui avait été placé hors de l’assemblée et sous surveillance, perdit une partie de sa contenance quand son regard passa la fenêtre qui donnait sur la Seine.
Plusieurs centaines d’hommes armées se tenaient devant le palais Bourbon, bientôt forteresse inexpugnable. Un tel mouvement avait du exiger des préparatifs comment tout cela avait-il pu demeurer invisible ?
A l’heure qu’il était cette question ne revêtait plus d’urgence, il fallait trouver une façon de s’en sortir, sans quoi la France suivrait l’Allemagne et l’Italie dans leur chute.
Il ne savait même pas si De Gaulle était au courant de la situation, et se demandait bien ce que le lieutenant-colonel et ses hommes pourraient face à une telle force.
Il regardait, l’œil morne, ces « militaires de pacotilles » comme les surnommait De Gaulle, parader face à un des symboles de la République dont ils s’étaient fait maîtres. Il aperçu alors une masse de poussière qui s’élevait de l’est et se rapprochait.
- Comme la cavalerie se rapprochant, songea-t-il, ce serait trop beau.
Soudainement, un sifflement perça l’air, et le fracas d’une explosion retentit. Les miliciens ne paradaient plus, et les cris de stupeur s’élevaient en même temps qu’on cherchait l’origine de cette déconvenue.
- La cavalerie, murmura Reynaud dans un sourire.
Les cris des hommes furent bientôt couverts par le claquement sec et puissant des chenilles métalliques sur les pavés. Le ronflement lourd et sonore des moteurs d’où s’échappait une démoniaque fumée bleue, ajoutait au fracas assourdissant des engins sortis des usines Renault.
Il vit arriver à pleine vitesse un groupe de quatre chars placés cote à cote et qui ne ralentirent pas, à mesure qu’ils approchaient, les miliciens impuissants dont les carabines semblait tirer des plombs de fêtes foraines.
La majorité des paradeurs se débanda en se promettant de revenir plus tard, tandis que les hommes plus expérimentés cherchèrent refuge à l’intérieur du bâtiment qu’ils étaient censés garder.
Un homme jeune pétrifié, fut percuté de plein fouet par un des chars, et Reynaud qui ferma les yeux ne le vit pas se faire broyer par les tonnes d’acier.
Installés devant le perron du palais bourbon à présent désert, les blindés tirèrent plusieurs salves de mitrailleuses en direction des hommes qui retraitaient à l’intérieur du bâtiment.
Trente secondes plus tard, des camions déversèrent des hommes en uniformes de l’armée française. Qui s’élancèrent à vers l’entrée de l’assemblée nationale sous la couverture des blindés.
Les coups de feu résonnaient dans tout le bâtiment et Reynaud les entendaient se rapprocher avec la progression de la « contre-offensive ».
Le crépitement des pistolets et des fusils marquait l’acharnement des combats. Une nouvelle explosion retentit, suivit de cri de douleurs, une grenade à main, cette fois-ci.
- Vous feriez mieux de vous rendre, conseilla Reynaud à la sentinelle qui le gardait.
- Ta gueule, répondit le spadassin qui devenait nerveux.
A ce moment là, des pas retentirent dans le couloir et la porte s’ouvrit brusquement, la sentinelle placée idéalement blessa un des assaillants qui répondirent par un feu nourrit qui atteignit Reynaud au bras.
Une fois la sentinelle morte, les soldats se précipitèrent sur le député qui levait les bras.
- Mon Dieu, monsieur Reynaud, on vous a blessé, s’alarma un assaillant.
- Ce n’est que superficiel, continuez l’assaut, il est plus important que mon sort.
Malgré la douleur brûlante qui sourdait dans son bras gauche, Reynaud était soulagé, De Gaulle avait été tenu au courant de la situation, leur seule chance se jouait à l’instant, et c’est leur meilleur joueur qui tenait les cartes.
 
Voilà c'est ça! Comme d'hab John essaye de me piquer la gloire en postant un nouvel épisode de son roman et en faisant tomber mon aar dans les tréfond du forum!

Saleté... :mad:

:p
 
Disturbman said:
Voilà c'est ça! Comme d'hab John essaye de me piquer la gloire en postant un nouvel épisode de son roman et en faisant tomber mon aar dans les tréfond du forum!

Saleté... :mad:

:p

C'est la sélection naturelle ça :D
 
Lord_Klou said:
Ahah De Gaulle à l'attaque : les gentils sortent de leur réserve :D

Bah quand faut y aller, faut y aller... :D
 
Ben on attends la suite!!! On est devenu accros...
 
hein? quoi?
Bon, je suis désolé pour l'attente, je suis en train d'écrire la suite mais je ne suis pas satisfait pour le moment donc je ne publie rien.
J'ai du mal à trouver comment aborder la suite, mais bon, je vais pas vous raconter ma vie.
Merci des encouragements, je fais le plus vite possible.
 
forezjohn said:
J'ai du mal à trouver comment aborder la suite, mais bon, je vais pas vous raconter ma vie.

:rofl:

C'est pas ce que tu fait avec ton aar OT sur tes vacances au ski? :eek:o

Sinon pour la manque d'idée je connait ça, c'est un peu pour ça que mon aar java est en pause (ou finit)... J'avais plus d'idées et j'étais arrivé au bout du format.
 
10 jours sans nouvelles !

Mais ou est le docteur ? :eek:
 
P. Alavares Cab said:
10 jours sans nouvelles !

Mais ou est le docteur ? :eek:

T'as raison Pedro, j'ai pas posté depuis un mois faut que je my mette sérieusement, y'aura probablement du neuf ce soir.
 
Eiffel.jpg

Commander est l'art de faire de son but personnel un idéal pour les autres.
Maréchal Foch​

La radio embarquée dans la voiture crachota avant de délivrer son message « découpé » par la friture :
- Lieutenant-colonel De Gaulle, on me dit que vous avez envoyé vos forces dans Paris ?
Le général Sofente hurlait, rien que pour poser cette question. De Gaulle imaginait déjà la suite. Pas de temps pour la duperie, c’était l’heure où les masques tombaient.
- En effet, mon général ! J’ai appris qu’une tentative de coup d’Etat était en cours et comme j’étais dans les environs immédiats, j’ai considéré qu’il était de mon devoir d’intervenir pour protéger la République comme je m’y suis engagé, dit De Gaulle dont l’intervention était volontairement provocante.
- Foutaises ! jura Sofente, vous êtes à l’armée vous obéissez aux ordres de vos supérieurs. Vous n’êtes pas dans un camp de vacances où vous faites ce que bon vous semble. Vous déguerpissez, c’est un ordre, c’est mon ordre.
- Mon général, je ne vois aucune bonne raison de faire cela, je suis au regret de vous dire que l’opération continue.
- Dernier avertissement, ou c’est la cour martiale, une mutinerie c’est la peine de mort assurée.
- Désolé général, entre vous et la France le choix est vite fait.
Sofente s’étranglait à la radio tandis que De Gaulle demandait qu’on coupe l’appareil de communication.
A quarante-cinq ans il entrait en rébellion, par la force des circonstances et de son choix. Il goûtait la joie de la liberté d’action et l’amer impériosité de perfection du résultat qu’elle lui imposait.
- Transmettez un message aux chefs d’escadrons, dit-il à l’endroit du préposé aux communications.
- Sommes menacés cour martiale par Général Sofente, tenir les troupes en prévision ordre radio de repli du général Sofente, il faut remplir la mission à tout prix, malgré les menaces.


Il pénétra dans la salle d’enregistrement de l’immense édifice de fer, les combats avaient été durs et il avait fallu près d’une heure pour arriver à occuper complètement le bâtiment une fois arrivé sur les lieux.
Une fois la sécurité assurée il prit une vingtaine de minutes pour rédiger un texte, avant d’aller l’enregistrer.
Devant le micro, il fit une dernière lecture mentale du texte raturé, puis commença :
« Françaises, Français,
L’ennemi s’est aujourd’hui montré au grand jour, lui qui préfère l’ombre. Qu’on ne s’y trompe pas s’il agit ainsi c’est parce qu’il pense mener une action décisive pour saisir par la force le pouvoir, notre pouvoir, le pouvoir du peuple, le pouvoir de la République, le pouvoir de la France.
Ce groupuscule d’obscurs militaires de pacotilles, prétend rendre la justice, alors qu’il la souille et foule au pied les décisions du pays, en arrêtant sans raison valable les élus du peuple français.
Ces gens prétendent défendre la France alors qu’ils défendent leurs intérêts personnels, sinon pourquoi recourir à la force armée.
Moi lieutenant-colonel De Gaulle j’appelle tous les Français qui veulent rester libre à m’écouter et à suivre la République car la République c’est la France ! Nous sommes actuellement en train de reprendre le palais Bourbon.
Tout comme moi défendez, la République. N’écoutez pas ceux qui promettent de rendre le pouvoir alors qu’ils le volent, qui promettent la grandeur alors qu’ils agissent avec bassesse.
La grandeur de la nation repose sur les valeurs révolutionnaires. Soyons dignes de nos ancêtres, montrons que nous ne sacrifierons pas notre liberté à des fadaises ou une baïonnette.
Montrez que la force de votre conviction est supérieure à la simple puissance brute de quelques hommes en armes.
Vive la France dans l’honneur et la liberté. »
Ce discours lui avait fait l’impression d’un combat intense, il se sentait épuisé alors qu’il était loin d’avoir accompli sa tâche.
Déjà un homme partait pour l’école supérieure des PTT récemment reprise, avec une copie de l’enregistrement du discours de De Gaulle.
Ne manquait plus que le palais Bourbon dont De Gaulle apprit la libération dix minutes plus tard. Il était douze heures trente.

Le souffle du boulet à peine passé, les députés avaient compris l’urgence de remettre le pays sur les rails s’ils ne voulaient pas que pareil événement se reproduise.
Dans l’après-midi, un gouvernement d’union républicaine fut facilement formé par la SFIO, les radicaux de gauche et les reynistes comme on les appellerait plus tard.
Ces camps unis détenaient la majorité à eux seuls, mais les communistes avaient joint leurs votes, ils reconnaissaient ainsi leur défaite mais cherchait à réintégrer le système, on murmurait que Staline avait donné ses ordres : « mieux vaut une France qui aide l’Espagne antifasciste que deux Etats fascistes de plus à l’ouest ».
Le nouveau gouvernement comprenait deux hommes forts, unis par les difficultés :
Reynaud qui occupait les ministères de la Guerre et de l’Intérieur, et Blum nouveau Président du Conseil après sa récente chute que l’horreur de ce 3 novembre avait rendu incroyablement combatif.
 
Et bien ça reprend :)

Et le Lt-Colonel de Gaulle fort à son avantage :) (il a eu une promotion j'espère!)
 
C'est quand meme pas tres démocratique un ministre de la guerre et de l'interieur :wacko:

Enfin c'est un gouvernement provisoire j'espere...

C'est toujours aussi passionnant! On attend la suite (et pas dans un mois ;) )
 
Index mise à jour.

Probablement un épisode de plus dans la soirée.
 
Youpiiii! :rofl:
 
gce.jpg

Notes aux lecteurs :
J’écris cet article alors que suis encore en Espagne de retour en France. Je tiens à prévenir le lecteur que la description de certaines scènes pourra le choquer. Mais contrairement à des photos dont l’horreur peut saisir le lecteur sans qu’il le veuille les mots peuvent être évités. A ceux qui diraient que mes descriptions sont de la vulgaire propagande je tiens à disposition des photos des scènes décrites. Tout ce qui est écrit ci-dessous relève de la stricte vérité, j’ai essayé de décrire le plus précisément possible la situation telle qu’elle est, si loin apparemment, mais en réalité si près de nous. On me reprochera d’être partial, on l’a toujours fait. Je m’en défends, je n’ai jamais pris parti, aussi sympathiques ou désagréables que me soient les personnes que j’ai pu rencontrer. J’ai toujours rapporté les faits tels qu’ils étaient, je continuerai à le faire. Je n’ai jamais épargné aucune exaction à qui que ce soit et dans le cas qui nous préoccupe chaque camp en a, hélas, son lot. Si cela dérange certains tant pis pour eux, je ne conçois pas mon métier comme une flagornerie envers les gens de pouvoir mais un devoir envers tout un chacun. Toutes mes excuses pour m’être mis en avant aussi fortement, mais le sujet qui nous préoccupe est trop important pour que toutes les mises au clair possible ne soient pas faites préalablement.
Extrait du grand reportage de Jean d'Armeville sur la guerre civille espagnole.​


Reynaud écoutait attentivement le rapport du général de brigade fraîchement promu. Il connaissait la situation mais voulait connaître l’analyse de De Gaulle.
- D’après ce que j’en sais la situation apparaît être très mauvaise, nos troupes qui ont quitté le pays basque il y a plus d’un mois, ne sont toujours pas arrivées dans la province républicaine d’Huesca. Les autorités locales ont refusé d’accorder tout ravitaillement ce qui a considérablement ralenti nos hommes, leur attitude est insensée.
De Gaulle avait dit cela, lassitude et colère mêlées dans la voix. Il ne supportait pas l’aveuglement dont faisait preuve les dirigeants basques qui avaient pourtant été exposés à ce dont était capable leurs adversaires. Assis dans son siège une cigarette à la main, il reprit son rapport :
- Huesca est la seule province de valeur encore aux mains de la république Espagnole, qu’elle tombe et Franco aura gagné.
De Gaulle tira une bouffée de sa cigarette pour se ménager un temps avant de reprendre.
-Mais si la situation est critique, elle n’est pas inéluctable. D’abord un nombre important de divisions sont présentes à Huesca, ensuite le terrain montagneux nous favorise considérablement la province peut tenir des mois, je ne me fais pas de soucis pour cela. Des troupes sont sur le point de se déployer à Montpellier, et certaines marchent même sur Barcelone. Enfin la deuxième armée s’est faite surprendre et se retrouve sans territoire contrôlé, mais elle est puissante et pourra probablement prendre Madrid. Cependant il faudrait engager plus de divisions en Espagne.
Il avait annoncé cela avec une certaine décontraction, son rapport sur la situation était exact. Si la nation engageait une partie de l’armée dans le conflit l’issue était certaine. Le seul problème concernait le délai mais Reynaud l’appuierait. En l’état soutenir les républicains espagnols était prioritaire pour le gouvernement français.
- Combien ? demanda Reynaud à De Gaulle.
- Le plus possible. Il faut laisser assez d’hommes pour que l’Allemagne ne soit pas tentée de nous attaquer et mettre le reste des troupes en action de l’autre coté des Pyrénées pour assurer une victoire aux Républicains le plus rapidement possible. Je dirais que nous pourrions laisser une douzaine de division sur la frontière allemande.
- C’est une opération qui risque de mobiliser un nombre considérable d’hommes, remarqua Reynaud, mais Blum sera d’accord quoi qu’il arrive, le problème n’est pas là.
Reynaud s’assit un instant pour réfléchir puis reprit :
- Il faudra faire passer cela auprès du public ce sera le seul écueil, puisque le parlement ne devrait plus être un problème avant un moment. Aucun député ne veut revivre une fusillade dans le palais Bourbon. Le reportage de D’Armeville tombe encore une fois au bon moment, la majorité de la population est effrayée par les horreurs des franquistes -puisqu’on les appelle comme cela maintenant- à Guernica et ailleurs, et même les hommes les plus à droite ne pardonne pas à Franco d’avoir liquidé un rival pour le pouvoir.
Le ministre au double portefeuille avait dit cela en pensant à son bras douloureux, au travail accompli depuis le putsch avorté par De Gaulle. L’homme avait acquis une grande renommée depuis l’événement, évidemment, ainsi que le grade de général de brigade, des dents avaient grincé et fort en apprenant cela, mais Reynaud ne pouvait laisser passer l’occasion de faire accéder son partenaire et son ami (même si ce paramètre n’était pas entré en considération) à un grade plus important dans une armée qui avait urgemment besoin d’hommes comme lui.
- Je désire être affecté en Espagne, bien sûr je continuerai à fournir le travail habituel tout en assumant mon commandement opérationnel. Nous ne serons plus en liaison directe et je serai ralenti dans mon travail, si les combats sont trop âpres mais il me faut appliquer mes théories sur le terrain, et les corriger si nécessaires.
- Je n’aime pas vous savoir risquer votre vie mais, vous êtes nécessaires aux conflits futurs.
Il fit signe à De Gaulle de ne pas répondre et continua sa phrase :
- Mais je suppose que ceci est indispensable, vous partirez donc le plus tôt possible.
Le regard profondément ancré dans celui du général, Reynaud ajouta avec force :
- Nous avons sauvé la République Française, De Gaulle ! Sauvons la République Espagnole !
 
Je viens pas assez souvent ici moi. Il n'y a que du bon !
Même les AAR de jeux que je ne connais absolument pas, sont passionnants et tant la réalisation que l'écriture me laissent baba :eek:
Ch'uis pas près de m'aligner ...


Et en plus c'est ton 1er AAR Forez ? :confused:



Je sens que je vais furieusement fermer ma grande gueule moué :eek:o