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C'est beau :)


Mais c'est pas finit quand meme?
La suite, la suite!!!
 
Merci!

Dans l'upload "idées noires pour Johnny Reb...", il n'y a que moi qui voit des croix rouges à certains endroits?
Ou il faut que je remette les images?
 
j'ai pas de croix rouges
 
P. Alavares Cab said:
Mais c'est pas finit quand meme?

Non! :)
Il faut maintenant industrialisé la Confédération et rembourser une dette abyssale :eek:
Et puis pour le reste (ce qui vous interesse -et moi aussi par ailleurs- ) , les guerres et autres colonies, le Franchil réserve des surprises! :)

edit: le problème des croix rouges a disparu de lui même chez moi! :confused:
 
quand pour le prochain épisode, je suis déjà impatient :)
 
Normalement, demain!

Il sera moins sexy... L'industrialisation et les dettes c'est pas passionnant! :rofl:
 
Emp_Palpatine said:
Normalement, demain!

Il sera moins sexy... L'industrialisation et les dettes c'est pas passionnant! :rofl:


il y aura peut etre moins de source iconographiques non?

A moins bien sur que tu chopes des entreprises du Nord pour illuster celle du sud. ;)
 
les images a l'orée du XXeme ca doit pas être difficile.

Mais je te filerais un M&m's si tu trouve une peinture fresque murale caricature ect... d'entreprise industrielle du sud dans les années 1870 :D
 
Il faut libérer les esclaves...


La Confédération avait gagné son indépendance le 14 novembre 1862 (qui fut dès lors la deuxième fête nationale, après l'anniversaire de la Sécession de la Caroline du Sud). Il fallut au gouvernement Confédéré plusieurs semaines avant de pouvoir dresser un bilan de la situation de la Confédération.

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La Confédération à son indépendance.

Les Etats Confédérés d'Amérique comprenaient alors 11 millions d'habitant (dont 3 millions d'esclaves), avaient une petite force industrielle et surtout, une dette abyssale.

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Le ministère de la guerre, encore en charge de la gestion économique déclara alors "la confédération a gagné son indépendance, elle doit maintenant gagner sa viabilité". Immédiatement, Jefferson Davis pris des mesures énergiques: l'armée était démobilisée, une grande partie des effectifs (au grand dam d'une partie de l'opinion craignant une revanche Yankee) fut renvoyée. Dans le même temps, le gouvernement décida d'encourager l'industrie, tant pour trouver à la main d'oeuvre (redevenant abondante ) un travail que pour trouver les liquidités nécessaires au remboursement des dettes de guerre.

Qu'en était-il des risques de revanche? Dès l'indépendance, le gouvernement confédéré craignit que le traité signé à Richmond ne soit pour les Etats-unis qu'un moyen parmi d'autres pour reconstituer leurs forces et soumettre les Sudistes. Cette crainte fut rapidement dissipée:
Dans le courant de l'année 1863, encouragés par l'exemple Confédéré, les habitants du Grand Ouest se soulevèrent en masse.

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L'armée des Etats Unis, non encore remise des pertes dues à la guerre de Sécession, aurait autre chose à faire que de prendre sa revanche sur la jeune Confédération. Après quelques mois d'anarchie, la République de Californie et celle de Colombie proclamèrent leurs indépendances respectives, malheureusement pour elles, la pression militaire de l'Union se fit de plus en plus intense et ces jeunes républiques n'avaient pas la force militaire de la Confédération. Finalement, l'Union réussit à s'imposer (aidée contre la Colombie par les Britanniques) et il ne resta que des lambeaux des Etats révoltés.

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Pour de nombreux analystes, le Sud avait manqué une occasion importante de son histoire dans cette affaire. Soutenir les révoltés eut pu permettre le maintien de leur intégrité et par conséquent affaiblir les Etats-Unis. Au Congrès, de nombreuses voix s'élevaient en ce sens: "La Confédération, de part les conditions mêmes de sa naissance, ne peut rester indifférente à ce qui se passe dans le grand Ouest. Des hommes épris de liberté se dressent actuellement contre la tyrannie des républicains, il est de notre devoir de leur apporter notre aide" déclara un sénateur du Texas. Faisant moins dans la mesure, Stonewall Jackson commenta en privé: "Allons aider l'Ouest à Washington". Jefferson Davis avait la tête plus froide. La Confédération était en train de reconstituer une économie viable, et si sur le papier son armée était supérieure à celle du Nord, dans les faits, la plupart des divisions n'étaient qu'à 10% de leur effectif théorique. Plus grave, entrer en guerre pour soutenir l'Ouest, même en prenant en compte l'espoir -bien maigre- d'une adhésion à la Confédération de la Californie et de la Colombie, c'était prendre un pari des plus risqué: mettre en jeu l'existence de la Confédération pour des intérêts non vitaux. Bien malgré lui, le Sud était pour le moment condamné à l'Isolasionisme. Et c'est ce qu'il y avait de mieux à faire. D'autant plus que la politique économique commençait à porter ses fruits.
Dès la fin de l'année 1863, de nouveaux centres industriels ouvrirent. Les deux Carolines virent la naissance d'une industrie textile (tissu au nord, vêtements au sud), tout comme le Mississippi. En Arkansans, des scieries ouvrirent tandis que le Missouri vit une industrie sidérurgique s'adjoindre à son industrie minière.

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Fabrique textile au bord du Mississippi.

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Scierie en Arkansas.

La politique économique d'industrialisation commençeait donc à porter ses fruits. En 1864, une nouvelle usine de vêtements ouvrit en Géorgie.
La dette se résorbait, le dollar confédéré devenait une monnaie crédible tandis que le gouvernement pouvait maintenant envisager la construction de voies de chemin de fer.

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50 dollars Confédérés

La dette fut définitevement remboursée courant 1868.

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Depuis quelques mois déjà, la Confédération avait d'autres soucis et commençait à regarder vers l'extérieur. En 1867, le gouvernement confédéré avait renoncé à acquérir auprès de l'Empire Russe l'Alaska, que ce dernier mettait en vente. Dépités, les Sudistes virent l'Union emporter le morceau. Mais Davis savait que la Confédération ne pouvait mettre en danger sa cure financière, de même ce dernier ne voulait pas laisser en leg à la confédération toujours plus de dettes. En effet, Jefferson Davis approchait de la fin de son mandat. En 1868, conformément à la constitution de la Confédération, des élections présidentielles furent organisées et le Vice Président de Davis, Alexander Stephen fut élu président pour un mandant de 6 ans, non renouvelable.

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Alexander Stephens, deuxième président de la Confédération.

Ce dernier allait immédiatement avoir de nombreux dossiers à gérer.
Depuis quelques mois déjà, Cuba était en rébellion ouverte contre sa métropole Espagnole. Pour de nombreux Confédérés, c'était l'occasion de s'en saisir. Il s'agissait de concrétiser un vieux rêve sudiste datant d'avant l'Indépendance: s'installer dans les Antilles. Malgré les réticences de Stephens, une proposition d'achat fut envoyée en Espagne qui la rejetta de façon véhémente. La Congrès Confédéré n'oublierait pas l'insulte, nombreux furent à présent ceux qui gardaient les yeux fixés sur Cuba, à l'affut du moindre Casus belli...
Autrement plus important fur l'affaire de l'abolition de l'esclavage. La Confédération était maintenant indépendante depuis huit ans. L'industrie était en plein essor. L'abolitionnisme gagnait de plus en plus une bonne partie de l'opinion, mais aussi des élites. Un représentant du Kentucky déclara au Congrès: "La Confédération ne s'est pas battu pour l'institution particulière, mais pour la liberté de vivre selon sa propre volonté. La survie de la Confédération n'est pas liée à l'institution particulière. Aujourd'hui il est temps que la Liberté que nous avons gagnée soit aussi celle des personnes astreintes au travail. L'avenir n'est plus dans la plantation mais dans l'industrie si nous ne voulons pas être détruits. Il est temps pour la Confédération de rembourser la dette qu'elle a envers le Seigneur en libérant ces hommes, ces frères!" Ce à quoi les députés esclavagistes (Louisianne, Mississippi entre autres) opposaient "le mode de vie du Sud, la civilisation, la sang versé pour l'institution particulière".
L'esclavage avait en effet été le déclancheur du conflit. Mais e fait, l'immense majorité des soldats ne possédait pas d'esclaves. Rapidement, l'opinion fut conquise par les arguments abolitionnistes. Les Elites, elles, comprenaient tout l'intérêt économique qu'il y avait dans une telle mesure: les travailleurs ainsi libérés pourraient aller travailler dans les usines ou à tout le moins seraient incités par le salariat à produire. Même l'aristocratie des plantations, dont une grande partie disposait maintenant de parts dans l'industrie, se laissait gagner à de tels arguments, bien qu'ils s'en défendassent vigoureusement en public. Certains appellaient même à la Sécession.
C'est durant ces débats tendus que la nouvelle éclata:

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R.I.P

Monument en l'honneur du Général Lee

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La nouvelle de la mort de "l'épée de la Confédération" fut un choc pour l'opinion. Partout, les bannières furent mises en berne. L'esprit n'était plus qu'à l'unité nationale et à la commémoration. Les opposants à l'abolition avaient perdu la bataille, ils le savaient. Stephens utilisa habilement la mémoire de Lee, abolitionniste, et le 10 juin 1870 proclama l'émancipation immédiate de tous les esclaves sur le territoire de la Confédération.


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Une page de l'histoire des Etats du Sud venait de se tourner.
 
Les Caraïbes sont elles à vendre?



Après la proclamation d'émancipation, les Etats Confédérés purent se concentrer sur la mise en oeuvre (ô combien délicate) de cette dernière mesure mais aussi continuer les politiques d'industrialisation qui portaient petit à petit leurs fruits.
C'était oublier la situation dans les Caraïbes, et notamment à Cuba, toujours scrupuleusement surveillée par ceux qu'ont appellait alors les "rattachistes". L'île, en situation insurectionnelle depuis de nombreuses années, encouragée en ce sens par l'anarchie politique de la lointaine métropole (où Carlistes et autres républicains n'en finissaient pas de s'affronter) connaissait en cet été 1870 un nouveau coup de sang.
Début août, cinq citoyens Confédérés furent arrêtés par les autorités Espagnoles. Convaincus d'incitation à la rébellion, ils furent éxécutés après un procès expéditif, le gouverneur de l'île souhaitant donner une leçon à ces Confédérés arrogants. Aux Etats Confédérés, l'émotion populaire fut immense. La presse s'empara de l'affaire et le Congrés Confédéré se réunit en séance extraordinaire. Après de bien courts débats, la déclaration de guerre des Etats Confédérés à l'Espagne fut votée. Le parti de la guerre exultait à l'idée de l'annexion prochaine de Cuba, bien que le motif officiel donné par le Congrès des Etats Confédérés d'Amérique fut que " vu la situation hautement destabilisatrice de l'île de Cuba pour la sécurité des Caraïbes et des Etats Confédérés d'Amérique, vu les atteintes inacceptable aux droits des gens -y compris des soutiens Confédérés- commises par l'Espagne" , la Confédération ne pouvait rester impassible.

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Dans l'opinion, l'affaire Espagnole était l'objet d'attentions soutenues. Personne ne restait indifférent aux malheurs de cette île. Perception d'autant plus aïgue que les Confédérés eux-mêmes n'étaient indépendants que depuis 8ans. Une sorte de réflexe de solidarité envers les insurgés Cubains s'était développé, relayé au Congrès par les "rattachistes" et qui s'était manifesté avec la proposition éconduite d'achat de l'île. En ce mois d'août 1870, le moment était donc venu pour la Confédération de se porter au secours, non seulement de l'île de Cuba, mais aussi de toutes les colonies Espagnoles ( Porto Rico et les Philippines). D'autant plus que l'Europe, empêtrée dans la guerre Franco-Allemande de 1870 ne pourrait guère intervenir.
Si le Président Stephens ne s'opposait guère à cette expansion, il était conscient du manque de moyen de la Confédération pour mener cette guerre. Ce n'était pas tant l'armée de métier qui posait problème, cette dernière est alors nombreuse et expérimentée, de nombreux soldats et officiers ayant servi lors de la guerre d'indépendance, que la marine Confédérée. Cette dernière disposait alors d'une douzaine de bâtiments modernes (bien assez pour s'occuper de la faible flotte Espagnole) mais d'aucun moyen de transport de troupes, ô combien nécessaire pour mener cette guerre. La construction de tels bâteaux fut donc lancées, mais aucun ne serait disponible avant plusieurs mois.
Pendant de nombeuses semaines, la Guerre ne changea de fait rien à la vie quotidienne. Aucun combat n'eut lieu pendant le mois d'août. Les choses changèrent fin septembre: un faible corps expéditionnaire espagnol tenta sa chance sur les côtes de Virginie. Il fut rapidement anéanti par les troupes Confédérées présentes dans les environs. La flotte Confédérées, patrouillant le long des côtes, intercepta l'armada Espagnole et envoya par le fond la majeure partie de ces navires. Les Espagnols firent une autre tentative au mois de décembre, qui se solda elle aussi par un échec.
Pendant ce temps au congrès, le lobby industrialiste, renforcé par l'immense victoire que fut pour lui l'émancipation des Esclaves, réussit à faire adopter une loi d'encouragement à l'industrie qui entraîna l'ouverture de nouvelles usines.

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Preuve que la guerre ne perturbait pas plus que çà la vie de la Confédération, une nouvelle série de loi fut mise aux voix au printemps 1871: les journaux Confédérés la surnomèrent la loi de "la guerre des berceaux". Il s'agissait d'une série de mesures visant à promouvoir la natalité au sein de la Confédération ainsi que l'installation d'immigrants. Ces mesures furent acceuillis fraîchement à Washington, et avec raison. Il s'agissait bien évidement d'éviter un approfondissement trop grand du fossé démographique séparant la Confédération et l'Union.
Et la guerre contre l'Espagne? A part quelques accrochages maritimes, rien de neuf ne pouvait de passer tant que les navires de transports ne seraient pas prêts. Ce fut chose faite au mois de juillet 1871. Immédiatement, le 2ème Corps Expéditionnaire, sous le commandement du général Johnson embarqua et se mit en route vers Cuba.
Le 14 août 1871, un an après la déclaration de Guerre, la première action sérieuse commençait.

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La progression à l'intérieur des terres Cubaines fut rapide, facilitant la victoire des Whigs (une fois de plus) aux élections générales d'octobre 1871. Il fut heureux pour le gouvernement Confédéré que les élections eurent lieux au mois d'octobre. En effet, au mois de novembre, la résistance des Espagnols à Cuba se durçit, les Confédérés échouant devant La Havane et devant faire façe aux soulèvements loyalistes dans les provinces contrôlées de l'île.
La guerilla permanente à Cuba, immobilisant de nombreuses divisions, n'empêcha pas la Confédération de s'emparer de Porto Rico au début du mois de février 1872. Une offre de paix alors envoyée à Madrir reçut une fin de non recevoir. Madrid ne semblait pas prête à lâcher ses "perles des Antilles".
Toujours empêtré à Cuba, l'Etat Major confédéré décida de lancer une opération inédite pour des troupes américaines: un raid en Europe.
Le 13 mars, le 2ème Corps Expéditionnaire débarqua à Cadiz.

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Ne recontrant aucune résistance au départ, les Espagnols étant trop occupés à se battre entre eux, les Confédérés purent avancer dans les terres. Néanmoins, la résistance se durçit rapidement, nourrie par le très puissant sentiment national Espagnol. Rapidement surclassées numériquement, les troupes Confédérées se replièrent vers Granada et le Corps expéditionnaire, durement éprouvé (80% de blessés, tués et prisonniers) se rembarqua début juillet.

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Combats en Espagne

Le raid Espagnol était appellé à devenir un nouveau mythe pour l'Armée Confédérée, nouvelle manifestation du courage de "johnny reb". Une partie des troupes étant occupée à maintenir l'ordre sur les îles occupées,
le raid en Espagne s'étant achevé sur une déroute, l'Etat Major Confédéré devait trouver de nouvelle voies pour amener l'Espagne à abandonner le combat (cette dernière étant restée sourde à toutes les ouvertures de paix Confédérées, y compris aux moments les plus noirs du raid Espagnol, alors que le battle flag flottait à quelques centaines de kilomètres de Madrid), d'autant plus que les citoyens Confédérés s'impatientaient façe à une guerre s'éternisant et grêvant l'effort d'industrialisation. Plus aucune voie ferrée n'était construite, plus aucune usine. Au Congrès, les partisans de la paix se faisaient de plus en plus nombreux.
Pendant quelques mois, le corps expéditionnaire se reposa et surtout, reçu les nouveaux fusils à chargement par la culasse que l'industrie confédérée [découverte du progrès] pouvait enfin copier.

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Soldat armé d'un fusil à chargement par la Culasse.

Le 28 mai 1873, les défenseurs Espagnols des Philippines virent les navires Confédérés s'approcher. La Confédération avait décider de continuer à frapper l'Espagne là où cette dernière était le plus faible: les relicats de son Empire.
Le 15 juin, après avoir balayé les défenseurs Espagnols, les Confédérés prirent Luzon.

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Soldats Espagnols.


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Progression aux Philippines.

Se dirigeant vers Manille, les Confédérés y affrontent les Espagnols et après avoir à nouveau vaincus les Espagnols, s'emparent de la capitale Philipienne.

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Troupes Confédérées prenant les positions défensives Espagnoles.

Le reste de l'année 1873 fut consacrée à maintenir l'ordre, encore et toujours à Cuba, où les révoltes de loyalistes étaient endémiques (aggravées par les infiltrations de troupes Espagnoles), ainsi qu'à la conquêtes des multiples îles de l'archipel Philippin.
Le 2 janvier 1874, la nouvelle de la restauration des Bourbons à Madrid parvint à Richmond. Après plusieurs mois de tergiversations, le nouveau gouvernement, voulant se consacrer à rétablir la situation en Espagne, accepta enfin les revendications et céda aux Confédérés Cuba, Porto-Rico et les Philippines.

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Après quatre ans de guerre, la Confédération avait enfin atteint son but.
L'opinion, un instant transportée par la guerre, acceuillait avec bonheur le retour à la paix. La question du statut de ces territoires se posait, et pour le moment, aucun compromis ne pouvait être atteint. Les rattachistes voulaient l'admission de Cuba et de Porto-Rico en tant qu'Etats au sein de la Confédération. Les opposants à la guerre voulaient maintenant que la Confédération accordat l'indépendances à ses nouvelles possessions.
Une chose était sûre, les Philippines ne pourraient être admises en tant qu'Etat et devinrent par conséquent un "Territoire" de la Confédération.

territoire des Philippines.
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Le nouveau président Confédéré, Robert W. Barnwell, pouvait maintenant se tourner vers l'expansion économique. Les années suivant la guerre Hispano-confédérée furent des temps d'expansion économique, le kilométrage de voies ferrées explosait, tandis que de nouvelles techniques économiques, financières et industrielles se répandaient dans toute la Confédération. La vie quotidienne changeait petit à petit, suite à ces changements, mais aussi suite à des découvertes touchant directement aux conditions de vie, telle que la vaccination. Sans oublier la vigueur de la vie intellectuelle de la Confédération, dont les débats entre philosophes pragmatiques et empiristes se faisaient alors remarquer.

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de nombreuses voies ferrées ouvrent.

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Dynamisme intellectuel.

La politique d'expansion dans les Caraïbes n'en continuait pas moins: en septembre 1878, la Confédération acheta au Royaume-Uni la Jamaique, mais échoua l'année suivant à acquérir les Bahamas. Les Etats-Unis ne pouvaient rester indifférents à cette expansionnisme du frère ennemi. En mars 1880, ces derniers organisèrent un putsch à Haïti, transformant le gouvernement de Port-au-Prince en gouvernement fantoche. Le nouveau président Confédéré, Augustus Hill Garland
, nettement plus orienté vers les affaires étrangères que son prédécesseur - et ancien "rattachiste"- ne tarda pas à réagir, et le 14 octobre, sous un prétexte fallacieux, deux divisions Confédérées occupèrent la République Dominicaine, frontalière de Haiti. Le 8 février 1881, cette république fut admise en tant que quatorzième Etat de la Confédération. Immédiatement la mesure fut étendue à Cuba , à la Jamaïque et à Porto-Rico où le statut temporaire était toujours en vigueur. Ces îles devinrent les quinzièmes, seizièmes et dix-septième Etats de la Confédération.

Le présidant Garland, au début du mandat duquel quatre nouveaux Etats furent admis au sein de la Confédération.
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La politique d'expansion ne s'arrêta pas là, la Confédération ayant tenté, mais sans succès encore une fois, d'acquérir Belize aux Britanniques.
Par contre, dans le Pacifique, nouvel horizon stratégique pour les Etats Confédérés, le State Flag fut planté sur les îles de l'ouest de l'océan.

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Alors que les Etats-Unis, à la grande inquiétude du Sud, se lançaient dans une guerre contre le Mexique, la Confédération, vingt ans après son indépendance avait prouvé sa capacité à survivre, et en plein dynamisme économique (en ce début des années 1980, de nouvelles usines ouvraient leurs portes, dont une usine de machines-outils au Tennessee) et extérieur semblait bien armée pour continuer sur sa lancée...

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L'industrie lourde Confédérée se développe: ouvertire d'une usine de précieuses machines outil au Tennessee

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La Confédération, vingt ans après son indépendance.
 
Last edited:
Ca devient compliqué en fait... faut que je fasse gaffe à ce qu'il n'y ait pas de bannière étoilée qui traîne, que je respecte aussi un certains réalisme concernant les armes (pour les prochaines guerres, je pourrais plus mettre de peintures avec vieux canons à chargement par la bouche).
Quand aux peintures de la guerre hispano-Américaine, j'en ai pas vu pouvant me convenir: soit les soldats sont en bleu :) , soit il y a une bannière Etoilée bien visible...
 
ca c'ets norla quand onfait du anhistorique, au fait j'espere que ton aar s'arrete =aps tout de suite sinon je vais etre tres triste,n v(aiomet tres triste.

Allez bonsoir à tous et amusez boyus bienn,,

:)
 
P. Alavares Cab said:
ca c'ets norla quand onfait du anhistorique, au fait j'espere que ton aar s'arrete =aps tout de suite sinon je vais etre tres triste,n v(aiomet tres triste.

Allez bonsoir à tous et amusez boyus bienn,,

:)

:rofl: :rofl:
Mais je rêve où il est bourré celui-là?! :rofl:
Merci en tout cas! ;)

@ Patriotes1837: Merci! Vickie? retente! Moi je lui ai redonné sa chance, et voilà le résultat! :)
 
Patriotes1837 said:
J'aimes bien. Ça me donnes presque envie de redonner une chance à Victoria.

[Mod Franchil on)

Oui mais avec lemod franchil, le meilleur mod francophone sur victoria :rofl: [Mod Franchil off]

c'est excellent...
 
Emp_Palpatine said:
Ca devient compliqué en fait... faut que je fasse gaffe à ce qu'il n'y ait pas de bannière étoilée qui traîne, que je respecte aussi un certains réalisme concernant les armes (pour les prochaines guerres, je pourrais plus mettre de peintures avec vieux canons à chargement par la bouche).
Quand aux peintures de la guerre hispano-Américaine, j'en ai pas vu pouvant me convenir: soit les soldats sont en bleu :) , soit il y a une bannière Etoilée bien visible...


on a surtout l'impréssion que ca devient plus facile dans le jeu ;)

c'est vrai qu'apres l'indépendance et les events franchiliens ca roule tout seul non?
et désolé pour hier, j'ai melheureusement réussit a allumer mon ordi :eek:o
 
P. Alavares Cab said:
et désolé pour hier, j'ai melheureusement réussit a allumer mon ordi :eek:o

tu ressemblais bcp à un type bourré qui dit à ses compagnons d'ivrognerie qu'il les aime et qu'il pourrait pas vivre sans eux... :D



ce qu'il regrette en général le matin, s'il les a trop aimés