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unmerged(26021)

unmerged(26021)

Dernier des Carthaginois
Feb 21, 2004
2.209
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Content, Sylla?

Liste des parties de Sylla :
* Angleterre : Sylla I, roi d'Angleterre, seigneur des pays de Galles, d'Ecosse et d'Irlande, comte de Calais et duc titulaire d'Aquitaine --> son histoire
* Angleterre : Sylla I, roi d'Angleterre, seigneur des pays de Galles, d'Ecosse et d'Irlande, comte de Calais et de Picardie, et duc titulaire d'Aquitaine --> son histoire
 
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Situation des 10 majeurs en 1453

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Zalder said:
le brandebourg, la bohême et le moldavie majeurs? :D

edit : sans oublier la bosnie bien sûr
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et la Moscovie :eek:o :D
 
AAR - premier session

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THE WAR OF THE ROSES​

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Voici l'histoire de Sylla I, roi d'Angleterre, souverain du pays de Galles, seigneur des royaumes d'Ecosse et d'Irlande, comte de Calais, duc titulaire de Gascogne. Son regne durera de 1453 à 1469, un peu plus de 16 ans. Le regne de ce roi sage et juste fut remplis de guerres tout au long de ses 16 années.

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Premiere guerre :
Une guerre eu lieu dès son accession au trone avec le roi de France, son suzerain en raison qu'il possede des domaines dans le royaume de France. Malgré les victoires anglaises, le roi Sylla I préféra signer la paix avec le roi de France. Ce dernier accordait la paix en échange de la possession de la riche ville de Bordeaux.

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Deuxieme guerre :
Guerre contre les clans irlandais. Cela n'a pas était facile de mettre a genoux les differents clans, surtout ceux du sud, de la région de Munster. Où nos troupes ont dû mettre deux ans avant de prendre toutes les villes de cette partie ci de l'île. Notre base de Meath et les soldats de notre alliè, le duc de Savoie nous furent très utile.

Troisieme guerre :
Une guerre de nouveau contre le roi de France. Ce dernier, apres avoir maté les féodaux du royaume, décida de porter plus loin les frontieres du royaume de France. Le roi francais pris comme victime le pauvre duc de Savoie. Etant trop loin pour intervenir et étant le vassal du roi de France, nous n'avons pas pû faire grand chose. Un paix blanche fut signé avec le roi de France mais pas avec ses alliés. C'est ainsi qu'apres plusieurs défaites contre les farouches écossais, nous étendons notre souverainité sur la partie nord des îles bretonnes.

Quatrieme guerre (toujours en cours) :
Une guerre a lieu entre notre alliance et la suisse. Le roi Sylla I, étant mort à cause d'une mauvaise grippe attrapée lors de la campagne dans les froides et humides régions du royaume d'Ecosse, ne sera jamais comment se terminera cette guerre...

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AAR session 2

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WARS OF KING SYLLA II​

Héroique ou pathetique ? Telle est la question que l'on est en droit de se poser au regard des evenements qui se sont déroulés tout au long de la campagne de France.

Cette guerre contre le roi de France marque le dernier sursaut du génie et du courage, mais les erreurs d'Irlande ont usé cette armée formidable, habituée aux victoires, criant toujours "vive le roi".

Pathétiques furent les longues marchent, les nuits sans sommeil dans le froid et la boue, sous la plui ou sous la neige. Pathétiques furent ces charges désespérées et les victoires sans lendemain. Pathétique fut l'agonie d'une armée qui grande hier, se refusera à mourir.

Mais héroiques furent ces hommes, souvent très jeunes, lorsqu'emmenés par leurs anciens ou par leur roi en personne, ils enlevaient les positions, culbutants les colonnes ennemies. Heroiques furent les charges folles, menées aussi bien par des nobles chevronnés que par des sergents terrorisés mais enthoisiastes. Heroiques furent ces garcons de fermes qui, quittant leur ouvrage, sont venus faire le coup d'épée aux cotés des chevaliers en armurent brillantes et dorées.

il est difficile de qualifier la symphonie que joua Sylla I au cours de ces campagnes d'europe, pendant lesquels il montra les limites du génie militaire, mais les soldats, pour leur part, repoussés les limites du courage, du dévouemeny et du sacrifice devant les attaques de leur roi. Ils sont dignes d'un profond respectn et ont écrit une splendide épopée, portant haut le prestige de l'Angleterre...

Tel furent les paroles de l'archeveque William Pitt au sujet du roi Sylla II d'Angleterre. Ce dernier tenta d'etre aussi puissant et prestigieux que son pére, le defunt roi Sylla I. Il mena plusieur fois la guerre contre ses voisins avec victoire. Il acquit la Picardie suite à une victoire contre le roi de France. Et son allié, le duc de Savoie, agrandit son territoire face aux suisses.

Le roi Sylla II fut un plus grand diplomate que son pére, malgré le refus du roi de Portugal d'être son "ami". Il réussit néanmoins a ralier a sa cause le roi d'Ecosse, les Duc de Savoie et de Bretagne.

Il matta une dizaine de révolte dans ses domaines de France, d'Angleterre et d'Irlande. Il réussit malgré des difficultés financieres, a payer des explorateurs, il permit a l'Angleterre de connaitre des nouvelles terres dans un continent que les moines appel en latin "AMERICA".

Tout comme son pére, il mourrut alors que son royaume se trouve en pleine guerre contre les clans irlandais du nord. Espérons que son successeur sera vite les mater.

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Première session : Carhago Mehmet, Vizir de la maison d'Osman

DE LA FULGURANTE MONTEE EN PUISSANCE OTTOMANE​

Lorsque le hasard m’offrit les commandes de l’Empire ottoman, je fus déçu de ne pas avoir hérité d’un pays catholique. Pourtant, le cours des évènements allait vite me consoler. Voici mon histoire…

Empire ottoman, an 1453 de la prétendue vraie foi chrétienne​


Politique étrangère :

Voilà maintenant plusieurs jours que Constantinople a vu déferler sur elle les puissantes armées turques commandées par le Sultan Mehmed II en personne. Celui-ci a mené ses soldats à la victoire de manière fulgurante puisque la capitale byzantine tomba en quelques jours. La ville fut annexée le 1er Mai 1453 et devint la capitale de l’Empire. Plaque tournante du commerce entre l’Orient musulman et l’Occident chrétien, elle n’allait pas tarder à faire la richesse de la nation ottomane. Une fois le berceau de l’orthodoxie tombé dans la main de l’Islam, la porte menant à de nouvelles conquêtes était ouverte.

C’est dans cette optique que la guerre fut rapidement déclarée à la Morée, guerre qui ne dura que quelques mois et qui vit le rattachement de son territoire à l’Empire. Mais cette annexion ne suffisait pas à assouvir les ambitions expansionnistes du grand Sultan de la maison d’Osman. C’est pourquoi, quelques mois plus tard, un émissaire fut envoyé en Albanie pour signifier au chef de cette faible contrée qu’il était désormais en guerre contre un des plus puissants Empires de la terre. Néanmoins, les choses ne se passèrent pas comme prévu lors de cette deuxième guerre. En effet, les troupes albanaises fondirent sur le Kosovo dans l’espoir de contrôler cette région avant que les troupes ottomanes aient pu entrer dans leur capitale. Et elles y parvinrent, hélas, si bien que l’armée ottomane, après s’être assurée du contrôle de l’Albanie, dut aller engager le combat contre les troupes albanaises qui assiégeaient désormais l’Hellas. Dirigée par Mehmed II, l’armée turque n’eut aucun mal à vaincre ces quelques misérables paysans armés de simple fourches et put alors se retourner vers le Kosovo dont elle reprit le contrôle rapidement. L’Albanie fut intégrée à l’Empire pour son plus grand honneur.

Tout alors laissait présager une longue période de calme et de prospérité. La maison d’Osman envoyait des baillis dans chaque provinces afin de collecter l’impôt du au Sultan et s’allia au Royaume de Candar situé au Nord de la Turquie. De plus, l’Empire parvint, en tissant des liens avec les autres pays musulmans, à obtenir des cartes lui révélant l’existence d’un pays situé là où se lève le Soleil : la Chine. Néanmoins, alors que les jours s’écoulaient paisiblement à Istanbul, nouveau nom de l’ancienne capitale byzantine, un ambassadeur venu d’Autriche vint proposer au Sultan un partage des terres vénitiennes. L’Autriche devait recevoir l’Istrie et la Dalmatie tandis que l’Empire ottoman recevait Raguse et les îles méditerranéennes. Craignant une ruse comme en sont capables les infâmes chrétiens, le Sultan exigea de plus que l’Autriche ne se retirerait pas de cette guerre avant que l’Empire n’ait pris le contrôle des îles, ce qu’elle accepta.

Une fois la guerre signifiée à la Sérénissime, les troupes ottomanes se divisèrent en deux groupes aux objectifs distincts. Le premier entama un long siège devant Raguse tandis que le second, renforcé par des troupes levées en toute hâte, se ruait vers l’Ionie. Les navires ottomans tentèrent, eux, de s’assurer le contrôle des détroits. Mais alors que les premières escarmouches engagées sur les mers avaient tourné en faveur de l’Empire, Venise et ses alliés génois et pontificaux comprirent l’avantage que conférait le contrôle des mers et envoyèrent tous leurs vaisseaux croiser dans les eaux territoriales turques. Après plusieurs défaites face à des flottes largement supérieures en nombre, l’Empire ottoman décida d’abandonner ses perspectives maritimes. Le Sultan se retrouvait donc dans une situation bien mauvaise avec pour seule perspective l’annexion de Raguse et de l’Ionie, gain bien faible comparé aux objectifs initiaux de la guerre. Mais un message de l’Autriche vint totalement transformer la situation.

En effet, comme le Sultan l’avait craint auparavant, le Royaume avait rapidement fait la paix avec la Sérénissime. L’Autriche montrait ainsi toute sa perfidie. Mais cette nouvelle était en fait bonne pour la cour ottomane qui voyait dans la Dalmatie et l’Istrie des compensations intéressantes à la non annexion des îles vénitiennes. C’est pourquoi les troupes ottomanes fondirent sur ces provinces. C’est alors que le Prince autrichien commit l’irréparable : après avoir manqué à sa parole, il menaça en plus l’Ottoman de guerre en cas d’annexion de la Dalmatie, faisant agiter le spectre d’une armée austro-hongroise de plus de 100 000 hommes déferlant sur Istanbul. Néanmoins, le sage Mehmed ne plia pas et signala qu’il ne faisait que se prémunir de la menace représentée par Venise. Après avoir pris le contrôle de l’Istrie et de la Dalmatie, les troupes ottomanes voulurent se rabattre sur Venise mais celle-ci, défendue par des bateaux, était inaccessible. Quelques mois s’écoulèrent ainsi sans que rien ne se passe jusqu’à ce qu’un messager italien vint offrir au nom du Doge les provinces d’Ionie, de Raguse et de Dalmatie en échange de la paix. Plein de générosité, le Sultan accepta. L’Autriche prévint alors l’Ottoman qu’il venait de faire une grosse erreur et qu’il la paierait bientôt. Nullement effrayé, le Sultan décida de masser la totalité de son armée en Dalmatie, à la frontière hongroise.

Une nouvelle période de paix s’annonçait et l’Empire en profitait pour accueillir le Roi de Moscovie dans son alliance. Mais la situation se modifiait considérablement en Europe. En effet, l’Autriche vola au souverain pontife deux provinces ce qui lui valut l’inimitié des autres puissances européennes. L’Empire ottoman ne se souciait guère de cela et le voyait même comme une aubaine afin de liguer les autres puissances chrétiennes contre le puissant Autrichien. Seule une guerre face au Danemark venait déranger la monotonie de la vie en Anatolie. Ces intrépides Vikings parvinrent même à prendre la province de Dobroudja après un siège ignoré par le Sultan. La province fut bien sûr rapidement reprise. C’est alors que se déroula l’évènement qui allait bouleverser la situation de l’Empire.

L’impétueuse Autriche se retrouva dans une seconde guerre contre le Pape et s’attira ainsi les foudres du Royaume de France qui lui déclara la guerre, demandant à toute la chrétienté de le rejoindre. Un messager fut envoyé à sa cour pour lui signifier que l’Empire ottoman le rejoindrait bientôt dans cette lutte. Et en effet, après avoir levé une immense armée, le Sultan décida de déclarer la guerre au royaume de Hongrie, allié de l’Autriche. Mais celle-ci montra une fois de plus sa lâcheté en abandonnant son amie entre les griffes ottomanes. Ayant appris l’art de lancer des assauts contre les fortifications, les troupes ottomanes prirent rapidement le contrôle d’un certain nombre de provinces hongroises et tout laissait présager à un désastre pour les Magyars.

Mais l’Empire fut alors attaqué de toute part par les mineurs chrétiens qu’il avait eu la bonté d’épargner. C’est ainsi que la Serbie, la Moldavie, la Valachie et Trébizonde (qui avait attaqué l’allié Candar) se retrouvèrent dans un conflit qui allait les perdre. De plus, après avoir réorganisé son armée, l’Autriche rentra en guerre avec la Hongrie contre les héritiers de la maison d’Osman. La situation devenait critique pour l’Empire qui se retrouver confronté à de nombreuses armées sur son propre territoire. Afin de l’emporter, le Sultan décida qu’il valait mieux se débarrasser d’abord des mineurs chrétiens un par un avant de se retourner contre l’alliance austro-hongroise. Ainsi la Serbie fut elle rapidement annexée, puis ce fut au tour de la Valachie. La Hongrie, prise d’effroi par les conquêtes ottomanes, supplia alors le Sultan de lui accorder la paix contre les provinces de Croatie et de Banat ainsi qu’une petite somme d’or. L’Autriche venait de payer pour son affront lors de la guerre vénitienne. Les troupes ottomanes purent enfin se reporter contre la Moldavie qu’elles vassalisèrent tout en annexant la province de Bujak puis sur Trébizonde qu’elles annexèrent après un glorieux assaut. Désormais en paix, l’Empire était de loin la première puissance mondiale.


Politique économique :

Au début de l’année 1469, l’Empire ottoman est un des pays les plus riches du monde. De plus, des baillis ont été implantés dans tout son territoire. Un monopole est assuré dans le centre de commerce de Thrace où seul le Portugal, protégé par un accord commercial avec la maison d’Osman, a réussi à placer durablement ses marchands. Seul bémol, l’inflation qui a gagné 6 points en 16 ans, chiffre qui reste tout de même bas si l’on le compare au nombre de provinces annexées durant cette période.




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1469 - 1500: Le Royaume d'Angleterre

1469 – 1500 : Lucayes Ier

Les deux rois Sylla ont assurément été de grands rois pour l’Angleterre. Cette dernière a pu définitivement asseoir sa position de force dominante au sein de la politique européenne.

C’est ainsi qu’au début de l’année 1469, Lucas Tudor, fils du Roi Sylla II, est couronné roi d'Angleterre, seigneur des pays de Galles, d'Ecosse et d'Irlande, comte de Calais et de Picardie, et duc titulaire d'Aquitaine sous le nom de Lucayes Ier.

Voici la situation politique de l’Angleterre en février 1469 :

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Le Royaume est toujours en guerre contre les seigneurs irlandais d’Ulster. Les vaincre sera chose aisée. C’est ainsi qu’à la fin de l’année 1470, l’entierté de l’Irlande est pacifiée et le Royaume a retrouvé sa quiétude habituelle. :)

Les îles britanniques sont maintenant entièrement sous le contrôle de la Couronne (Ecosse vassalisée).

1ere guerre française :

Mais Lucayes Ier est loin de se satisfaire de ses maigres conquêtes et veut marquer l’histoire de l’Angleterre.

Il se tourne alors vers le Sud et les riches provinces de France. Cette dernière est déjà prise en tenaille par l’alliance anglo-breto-savoyarde. Hélas la Bretagne et la Savoie ne sont pas de fortes puissances militaires et ne poseront que des problèmes de second ordre pour la France en cas de conflit. Il nous faut donc chercher un autre allié.

C’est dans cette perspective que des pourparlers sont engagés entre Londres et Vienne. Les Autrichiens se révèlent très vite intéressé par une attaque conjointement menée sur la France.

La guerre est très vite déclarée (1472 ?). Une quintuple invasion de la France commence :D :
- L’Ouest (Maine, Vendée, Normandie) est attaqué par nos alliés Bretons.
- Le Nord Ouest (Paris, Normandie) est attaqué par nos forces, tout particulièrement Paris qui est vite assiégée.
- Le Nord, au niveau de l’Artois, est envahi par les Autrichiens
- L’Est (Franche Comté) est pris d’assaut par des troupes fraîches autrichiennes provenants de l’Autriche elle-même.
- Et enfin, le Sud Est (Dauphiné) est assailli par les Savoyards et les Suisses (alliés de l’Autriche).

La France est complètement débordée. Après un audacieux coup de force contre les troupes anglaises assiégeants Paris et quelques effrois dans les rangs des généraux anglais, les Français se révèlent battus.

La guerre se termine donc assez vite (1474 je pense) en faveur de la coalition anglo-autrichienne : l’Angleterre reçoit le Pays de Caux et l’Autriche l’Artois et la Franche Comté. L’Angleterre est déçue de n’avoir pu annexer la Normandie, terre d’origine de Guillaume le Conquérant :( et cette nouvelle laisse la plupart des Anglais sur leur faim.

Néanmoins Lucayes Ier semble afficher de très bonnes dispositions envers les Français : il signe un mariage royal pour lier les dynasties françaises et anglaises. Quelques années plus tard, la France entre même dans notre grande alliance militaire. :)
Jusqu’en 1480 (je pense) tout se passe relativement bien. Lucayes Ier voit ses tentatives de vassalisation de la Bretagne hélas sans cesse refusées. :( Et c’est justement en 1480 qu’Anne de Bretagne, Duchesse de Bretagne, choisit de nous tourner le dos et de rendre hommage au roi de France.

Lucayes Ier est furieux. Jamais il ne pardonnera cet affront.

2ème guerre française :

Il engage donc de nouveaux pourparlers avec l’Autriche. Maximilien, Empereur d’Autriche, se révèle moins décidé à mener une seconde guerre contre les Français. Néanmoins, il nous assure de son soutien. Le plan est prévu comme suit : l’Angleterre exclut de l’alliance militaire la France qui se retrouve sans alliés, quelques jours plus tard l’Autriche lui déclare la guerre et un mois après, c’est le tour de l’Angleterre.

Mais le plan est de nombreuses fois reportés, principalement à cause des lenteurs de communication entre Londres et Vienne (c’est vrai on mettait plein de temps à se répondre Max et moi !!!). Un évènement va mettre le feu aux poudres (néanmoins pour l’Angleterre) : la Bretagne casse sa vassalisation avec la France (ainsi que notre alliance militaire) et déclare la guerre à son ancien suzerain.

Nous en profitons très vite pour attaquer la France et inviter la Bretagne dans notre alliance ( 1486 ?). Une nouvelle guerre commence. Si apparemment elle ressemble fort à la première elle lui est différente en de nombreux points :

En notre faveur, les Français viennent de se faire écraser dans leur expédition contre Naples :D
En notre défaveur, les Autrichiens semblent peu motivés par la guerre et affaiblis. De même, la France dispose d’un bien meilleur potentiel militaire qu’auparavant.

Dans cette 2ème guerre française, les Anglais entrent par la grande porte : Paris est assez vite capturée. Les Anglais prennent alors un peu trop confiance en eux et envoient des unités dispersées de 5.000 hommes faire les sièges de Reims et de Nevers, tandis que les Autrichiens n’ouvrent pas de front Est et n’interviennent que légèrement sur le Front Nord.

La France peut donc prendre le temps de reconstruire une armée convenable et lorsque 45.000 Français pointent leur nez en Bourgogne, c’est la panique chez les Anglais : la formation de nouvelles troupes a été négligée en Angleterre et l’armée est dispersée.

Les Français remportent donc une série de victoire et commencent à assiéger Paris. Les Anglais n’ont pas vraiment les moyens de déloger l’armée française devant la capitale. :S

La deuxième partie de la guerre s’effectuera au moyen d’une série d’escarmouches en Normandie, en Picardie, près de Calais et de Rouen où les Anglais et les Français perdent et gagnent tour à tour.

Hélas pour soutenir cet effort de guerre, l’Angleterre est obligée de saigner aux quatre veines son pauvre pays. L’inflation augmente dangereusement.

Un accord sera finalement trouvé (1491 ?) qui satisfasse les deux parties : l’Angleterre cède le Pays de Caux et revient au statu quo d’avant 1471. Il est cependant à noter que les Bretons ont obtenus le Maine.

1490 – 1500 : Calme

Après la paix, l’Angleterre se remet calmement de ses blessures. Une nouvelle alliance militaire est conclue avec les Français. C’est très «étrange» comme situation.

Nous obtenons également notre premier explorateur, Jean Cabot, qui se lance à la découverte de terres plus à l’Ouest. Rapidement nous atteignons le Canada et nous descendons même jusqu’en Chesapeake.

Fin 1499, Lucayes Ier est vieux et souffrant. Il est déçu d’avoir été trop gourmand avec cette seconde guerre française. :( Néanmoins, il espère que son successeur aura meilleure fortune….






PS : Cypho, toi qui a la save finale, pourrais tu faire un screen de la situation politique de l’Europe en 1500 et le poster ici ? merci
 
ma 3eme participation

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SYLLA Ier DE SUEDE​

Le roi suedois Sylla I, chercha a donner a son pays la puissance et le prestige d'un grand royaume, tel que le royaume d'Angleterre ou de France. Malheureusement, il ne réussit qu'a mener son pays a la banqueroute.

Le royaume etant entouré de puissant ennemi, tel que les royaumes de Pologne et de Lithuanie. Et que les danois etaient les alliés de ces deux derniers, Sylla Ier chercha des amis sûr en Europe pour les combattre. Malheureusement, seul le duché de Moscovite répondit a notre appel.

Le roi Sylla décida quand même d'attaquer les danois. Les armées suedoises etaient victorieuses face aux danois. Ces derniers durent nous donner trois provinces, dont la province de pomméranie.

Mais vu les defaites moscovites et la puissance que donnait la réunion des armées polonaises et lithuaniennes, Sylla Ier donna la pomméranie en échange de la paix.

Le roi Sylla restera dans l'Histoire un petit roi qui tenta de rendre son pays plus moderne, mais le Destin fit qu'il n'y arriva pas...


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L'union de Kalmar est bien mort lors de cette partie. Le royaume des danois et le royaume des suedois ont trop de haine l'un envers l'autre, qu'il n'est plus possible une alliance pacifique entre eux. Quand au troisieme, le royaume de Norvege, ce n'est plus qu'un immense champ de bataille pour les deux premiers...

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Seul point vraiment positif de la partie a été la construction d'une académie, cela nous permettra d'avoir une plus grande facilité pour récupérer notre stabilité.

Situation géo-politique en Scandinavie -->
 
ma 4eme partie

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SYLLA Ier DE FRANCE​

Le gros soucis a été, dans cette partie, les guerres a cause de mon Badboy. Plein d'ennemis. Il y avait Hesse, Cleves, Cologne, Savoie, Aragon, Mecklembourg, Alsace, Lorraine, Navarre, Palatinat, ...

J'ai voulu donner avant tout, un empire américain a mon royaume. C'est ainsi que dès que j'ai eu mon explorateur et un conquistador, j'ai foncé en amérique découvrir ces terres inconnues. Au début de partie, je n'avais même pas un seul comptoir, tandis que maintenant, la France est bien installé en América.
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Heureusement, la France ne connait pas de problème de religion, le peuple est entierement catholique. Et il suit les principes dictès du Pape.

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Mon héritier devra :
- Développer rapidement les villes et comptoirs de Syllanie (en Amérique), sinon, c'est l'anglais et l'espagnol qui en profiterons;
- Rembourser mes 3 (ou 4) emprunts. Mais calme, ils sont pas en un bloc, deux ans d'écart entre chaque emprunts;
- Faire gaffe au Badboy;
- Faire comme il veut.
 
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