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Massilia : De la légende à la réalité
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« Pendant les 25 années écoulés, la jeune Massilia du se protéger de la voracité des Carthaginois, des barbares gaulois et de Syracuse. Pas une seule fois Rome ne nous fît faux bond, toujours à nos côtés lors des moments difficiles. »
Téracles Xenocid
L’age des premiers Conflits
470 – 475
La colonisation de la province de Ligure, ne se fît pas sans mal, en effet les ligures, dépossédé de leur terre avaient combattu vaillamment les Massaliotes, se regroupant dans les Hauteurs de Vocontii, ils fondirent sur Massilia, peu défendu. La garnison du se retranché et nos hommes en place a Ligure partirent Hâtivement pour brisée le siège, hélas les fiers phocéens durent battre en retraite, les Ligures ayant réussi à s’allier avec les Tribus barbares de Vocontii, appâté par le pillage de la cité arrogante.
Les troupes Stationnées à Emporio durent prendre les trirèmes pour rejoindre en Ligure les troupes défaites du consul.
Pendant plus d’un mois, Massilia du subir un siège, bien que les navires en partance de toute la méditerranée venait mouiller et vendre leur marchandise dans la ville.
Pendant ce temps, Rome avait entraîné Massilia dans une guerre contre Syracuse, mais les phocéen n’avait pas vraiment les moyens d’aidé ses alliés.
Rome n’en avait pas besoin, et signa la paix avec les Etures, qui cédait a la république Romaine Syracuse, rapidement. Les Phocéens, eux, était toujours entrain de combattre les ligures et leurs alliés.
Il fallut trois mois à Massilia pour renvoyer les hordes barbares en Ligure… alors que le consul s’apprêtait à les annihilés définitivement, une Légion romaine passa nos frontières et captura les ligures, prenant du même coup les esclaves et le butin qui devait revenir au grec de Massilia !
Le Consul envoya un message à son homologue Romain, brisant le tribu que Massilia leur versait en compensation du préjudice…
La tension montait de part et d’autre, mais le sénat romain, voyant toujours Massilia comme un allié et une république sœur, dernier rempart à la barbarie, proposa en compensation du préjudice, de baissé le tribu que versait Massilia de 10 Talents ! Les Massaliotes, habitué depuis longtemps a l’amitié de Rome pressa leur consul d’accepté ce qui fut fait ! Et partout en Massilia on fêtait l’amitié retrouvée ! rigolant sur le sang chaud des Phocéens…
475 - 480
Alors quelques années avaient vue la paix à Massilia et ses colonies, une terrible nouvelle venait de parvenir au palais du consul.. Rome, outré par les pratiques barbares de Carthage (à savoir la pratique de sacrifice d’enfant a Baal), déclara la guerre à Carthage. Bien entendu, Rome, demandait l’aide à sa tributaire petite sœur, et cette dernière, leva ses troupes et partie pour l’île de Corsica, envoyant un message fort aux Romains, « ou Rome ira nous irons ! ».
Les défenses de l’île tombèrent rapidement, permettant à trois milles massaliotes de fondre sur la Sardaigne, déjà assiégé par des troupes romaines.
Pendant qu’une partie des armées de Massalia aidaient les Romains sous les remparts de Sardaigne, une autre pris ses quartiers dans l’île des Baléares, après avoir chassé les troupes carthaginoises.
L’allégresse était le maître mot, lors de ces premiers mois de combat, les Massaliotes se voyaient déjà annexé les îles proches, mais les Carthaginois n’avait pas dit leur derniers mots.
Ces derniers comptaient sur la difficulté a se déplacé sur ses terres d’Afrique du Nord pour éradiqué les troupes Romano-Massaliote, et il n’avait pas tort. Le consul phocéen, trop confiant, menait les troupes qui avaient pris les Baléares, directement sur les côtes d’Afrique appartenant a Carthage… la ville Frontière proche des côtes ibère au nom imprononçable pour des gens civilisés tomba en moins d’un mois… mais la contre attaque pris ces troupes par surprise, anéantissant les troupes du consul qui ne du sa survie qu’à la promptitude de sa garde prétorienne.
Alors que tout le monde le croyait disparu, les Massaliotes, de peur de voir l’ogre Carthaginois qui mettait à mal les légionnaires romains, signa une paix séparé avec Carthage, cette dernière le reconnaissait la légitimité des Massaliotes sur les Baléares en échange d’une paix durable.
Les Massaliotes déçus mais rassurés de ne pas avoir du subir une longue guerre s’en furent heureux d’avoir retiré quelques choses de plus tangible que l’amitié romaine. Les Epices des colonies de Baléares furent bientôt sur tous les forums Phocéens.
Rome continua la guerre, mais des troubles internes lui fît signé une paix blanche et honteuse… alors que nous avions récupéré les Baléares et fini la guerre une année avant eux…
481 – 490
Dix années d’essor économique, à partir d’Emporio nous colonisâmes la Cassetani, renforçant notre main mise sur cette partie de la méditerranée, augmentant nos défenses du au pierre extraite de nos toutes nouvelles carrières. Les Massaliotes découvrirent l’irrigation, et rapidement la cité phocéenne ainsi que les terres arables d’Emporio furent Irriguées, augmentant nos ressources.
Massalia avait dorénavant cinq Province distincte et riche toute de Culture grec (reconnaissant la privauté de la culture et de la religion grec, les habitants des Baléares avait adopté la vrai foi et la vrai culture).
Nous avions donc plus de Dix milles hommes prêt a faire la guerre, la plupart étant de l’infanterie lourde, le reste des Archers d’élite.
C’est alors que Carthage nous surpris… en nous déclarant la guerre !
Voulant récupérer leur colonie des Baléares, le consul envoya immédiatement une demande d’aide au sénat romain, qui comme de coutume répondit par l’affirmative et nous voilà reparti pour cinq années de guerre… huit milles massaliotes partis d’Emporio pour rejoindre les terres ibères à pied, pendant que la flotte gagna deux batailles décisives aux portes de Massalia contre les Carthaginois, qui essayait de débarqué des troupes au cœur même de la république !
La contre-attaque de ce côté ci du conflit fut rapide, Rome reprenait un long siège en Sardaigne, alors que trois milles homme de Massalia prenait position en Corsica…
Nous prîmes rapidement l’île, nos troupes rembarquèrent pour les Baléares ou ils brisèrent le siége des Carthaginois.
Mais le consul, à la tête de nos troupes partis pour le sud de l’Ibérie, n’eut pas les mêmes facilité. Quand il arriva aux frontières de l’Ibérie Carthaginoise, les troupes de cette dernière était quatre fois plus nombreuse ! Attaquant le point faible de la défense Carthaginoise, le Consul se fît repoussé plusieurs fois. Renonçant, les troupes reprirent la route vers Emporio.
Les Carthaginois suivirent les Massaliotes, et quand ils arrivèrent a leur frontière 17.000 Carthaginois les talonnaient de près.
Le consul s’empressa alors de faire la paix avec Carthage, qui pourtant, venait de perdre quasiment toutes ses concessions hors Afrique (les armées romaines profitant de notre diversion pour prendre les terres Ibériques.), mais le consul ne voulait pas laisser le destin de son peuple entre les mains des romains… et il eut raison… alors que la république romaine avait largement de quoi réclamé des terres carthaginoises, elle se contenta de demandé, quelques années après notre paix avec Carthage de quelques subsides…
491 à 500
Les romains, pas encore remis de leur guerre contre Carthage (ils n’avaient fait que coloniser Bononia), déclarèrent la guerre à Carthage ! Les finances basses, du fait que le consul avait fait faire de gros travaux (temple en Ligure, et colonisation de Vocontii), ne permettaient pas aux Phocéen de levé de nouvelles unités, ce qui ne permettrait sûrement pas à troupes Phocéennes pour avoir une action décisive sur le résultat de cette guerre. Le consul accepta de se joindre aux troupes Romaines, mais n’envoya pas de citoyens Massaliotes en terre carthaginoise.. quelques années plus tard, Rome signa une nouvelle fois une paix blanche…
Surtout que les ressources humaines était au plus bas… il fallait réagire, faire en sorte que le nombre de citoyens a Massilia augmente plus rapidement… plusieurs sacrifices furent fait a Aphrodite… mais rien n’y fit… il fallait prendre de nouvelle terre facilement sans grande perte… c’est pourquoi le consul tourna son regard vers… la gaule.
Massalia avait dorénavant six provinces grec sur le bassin Mediteranéen, mais aucune ressources vitale tel que le fer ou des chevaux, voir même du grain... il fallait réagir et vite..