tom & jerry said:
@Sylla, mon chef d'état-major qui prend quelques jours de vacances
et au moment où tout va mal..... (je vais devoir me cogner la mise à jour de l'ODB). Si nous pouvions compter encore un ou deux chefs de la trempe du Maréchal Torrès, les choses iraient mieux, mais il ne faut pas rêver. Jerry von Karl.
Ce ne sont pas les généraux et maréchaux qui manquent mais les troupes... Il faudrait appeler les réservistes, les milices, les pensionnés (ca reglerai ainsi deux soucis : le manque d'effection et les pensions). Il faudrai peut-etre recruter chez nos "alliés" pour combler les places vides...
Au grand quartier général de Jerry von Karl, les Generalfeldmarschall et les Generaloberst, ainsi que des membres du gouvernement sont réunis pour discuter de la situation sur les fronts. La scene se passe dans le grand salon d'été, les hommes discutent entre eux en buvant du champagne et des apéritifs en attendant l'arrivée de Jerry von Karl. Le Generalfeldmarschall Aassen entre dans la piece, il rejoind le Generalfeldmarschall Babass. Il est observé par le Generalfeldmarschall Midomar et le Generaloberst Reborn...
Midomar : Ce Aasan n'est qu'un pitre arrogant.
Reborn : Des pontifes... Ce ne sont que des pontifes. J'en ai la naussée avec leurs simulacres et leurs manèges.
Dans leur coin, le Generalfeldmarschall Sylla et le Generalfeldmarschall Diodon discutent...
Diodon : Jerry semble avoir déclenché le plan "Clausewitz" aujourd'hui.
Sylla : Berlin en premiere ligne... Il ne pourra pas conserver la ville. Si le "alter Fuchs" reste ici, tout le Reich sombrera avec lui. Nous devons l'en dissuader. Parle à Arakor, en tant que seul diplomate, il a de l'influence sur lui.
Diodon : Arakor a tout essayé. Ca ne sert à rien.
Sylla : Alors parle à ta belle-soeur. Pourquoi pas ? Tu es le mari de la soeur de la filleule de Jerry. On doit tout tenter. Berlin est quasiment encerclé parles Russes. Tu es encore jeune. Tu vas être bientot père. Tu veux mourir à Berlin ?
Diodon : Absolument pas.
A ce moment là, un officier des SS entre dans la piece
Officier SS : Messieurs, le Generalfeldmarschall Jerry von Karl !!!
Jerry rentre dans le salon, tout le monde se tourne vers lui et se tiennent raide comme des piquets. Et en coeur, ils crient "Heil" en fesant le salut hitlérien. Par la suite, Jerry passe en revue ses hommes, les saluant un à un. Arrive le tour du Generalfeldmarschall Sylla.
Sylla : Heil mein Generalfeldmarschall. Mein Generalfeldmarschall, par pitié, quittez Berlin. Il n'est pas encore trop tard. Anakor, venez je vous prie.
Arakor s'approche des deux hommes
Sylla : Mon cher Arakor, vous trouvez aussi qu'on doit entrer en contact avec les Alliés et faire un peu de politique.
Arakor : Oui, il faut continuer l'option politique.
Jerry : Je ne veux plus faire de politique. J'en ai par dessus la tete de la politique. Quand je serai mort, vous aurez tout le temps pour faire de la politique.
Sylla : Mein Generalfeldmarschall...
Jerry : C'est très bien ainsi, mon cher Sylla. Mon fidèle Sylla. C'est très bien ainsi. Allez...
Un peu plus tard, dans le parking...
Klorik : Il est a bout de forces.
Torres : Qu'attendre d'autre d'un abstinent végétarien ?
Sylla : Un peu de sérieux, Torres. Nous avons les rênes en main. Berlin va tomber dans quelques jours. Quand Jerry sera mort, avec qui les Alliés négocieront-ils ?
Torres : Pourquoi pensez-vous qu'ils traiteront avec nous ?
Sylla : Ma Heer et vos SS serviront à maintenir l'ordre après la guerre. Croyez-moi, une heure avec Eisenhower et il sera du même avis. Les premiers contacts sont déjà noués.
Torres: Attention, c'est de la haute trahison.
Sylla :Torres, j'ai d'autres chats à fouetter. Dois je serrer la main d'Eisenhower ou faire le salut hitlérien ?
Klorik : Voyez vous ca...
Une voiture vient d'arriver, il s'agit de la voiture du ministre de la recherche et de l'industrie von Babatus.
Torres: Plus l'heure avance, plus y a du beau monde.
Von Babatus s'approche de Sylla pendant que Torres et Klorik s'éloignent.
Von Babatus : Generalfeldmarschall... Vous partez déjà ? J'avais encore un mot à vous dire. L'ordre du Generalfeldmarschall Jerry de tout...
Sylla : Désolé mon ami mais je dois vraiment m'en aller. Passez à Hohenlychen à l'occasion. Je me rend dans l'Ouest pour assister de là-bas à la bataille de Paris.
A ces mots, Sylla se dirigea vers sa voiture et sortir du parking, sous le regard ébahis de von Babatus...